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TABLE.

La mort d’Aureng-Zeb leur donne occasion de s’affranchir, 334. — Ils reprennent les armes et sont impitoyablement massacrés, 374. — Horrible persécution dont ils sont l’objet, 375 ; — sont défaits à diverses reprises par les Abdallis, VI, 55 ; — reprennent (à la mort d’Abdallah) Lahore et son territoire, avec les contrées adjacentes, 64 ; — concluent avec le roi des Abdallis un traité d’alliance offensive et défensive, 94 ; — cèdent aux Anglais Shirind, Bouhanny, et plusieurs forteresses sur la rive gauche du Satlège, 160.

Sinjar, souverain (de la branche aînée) des Seljouks, place son neveu, Byram Ier, sur le trône des Ghaznevides, IV, 72. — Ses successeurs, trop faibles pour maintenir le calme dans leurs états, voient décroître rapidement leur domination, 82.

Soleil (l’eunuque) marche à la tête d’une armée au secours d’Ahmednagour, V, 49. — Son premier acte d’autorité dans cette place, 50. — Il marche contre Mourad à la tête de cinquante mille chevaux, 51. — Attaquée par Mirza, son armée est mise en déroute, 52. — Il est lui-même très-grièvement blessé, ibid.

Soujah, nabad d’Orissa, est élevé à la soubahbie du Bengale, V, 392. — Hodji et Allaverdi ont l’administration civile et le commandement des troupes, 393. — Mort de ce prince, 429. — Son fils lui succède et ne tarde pas à perdre le trône et la vie, 431.

Soujah, second fils de Schah-Jéhan ; son caractère, V, 179. — Le gouvernement du Bengale lui est conservé, 223. — Il arme contre Aureng-Zeb, 224. — Déroute de son armée ; sa fuite, 241. — Ses nouvelles tentatives ; ses défaites, 255. — Fin tragique de ce prince et de toute sa famille, 259.