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TABLE.

Tiggi, général ghaznevide, porte Aboul-Hassem au trône, IV, 64. — Il obtient quelques succès contre Mohammed III, 282. — Politique barbare de ce chef des Siddas, 233. — Impnidence, cause de sa défaite, ibid.

Timur ou Tamerlan, de la famille de Gengiz-Khan, maître du Khorassan et de la Perse orientale ; sa première apparition dans l’Inde, IV, 144. — Il passe le Sind, 266 ; — après plusieurs victoires paraît devant Délby, 271 ; — gagne une bataille décisive, 275. — Pillage de la ville et massacre des habitans, 277. — Il poursuit sa marcbe victorieuse jusqu’aux bords du Gange, 279 ; — court les plus grands dangers ; part pour la Tartarie, ibid. — Désordre que son invasion laisse dans l’empire, 282.

Tippou, fils de Hyder-Ali-Khan, venge sur les Anglais la ruine de Mysore, VI, 73. — La paix survenue entre la France et l’Angleterre lui enlève son plus ferme appui, et le force à suspendre une guerre qui semblait menacer la puissance anglaise d’une ruine prochaine, 74. — Il accueille avec distinction les Français dans ses états, et envoie des ambassadeurs à la cour de Versailles, 75. — Sage administration de ce prince pendant la paix, 76. — Il reprend les hostilités ; s’empare de Cranganor et de Combétore, pendant que les Anglais envahissent le Mysore, 88 ; — perd le château de Savandrog réputé jusqu’alors imprenable, ibid. — Les Mahrattes et le soubah du Dékhan unissant leurs efforts à ceux des Anglais achèvent de l’accabler, ibid. — Conditions onéreuses auxquelles il est forcé d’accepter la paix, 89. — Ses espérances déçues, 90. — Ses revers, sa résistance courageuse au siège de Séringapalam, 91. — Sa mort, ibid. — Quelques circonstances de l’histoire de ce prince sont rapportées au tome VI, 196 à 210.