Page:Marot - Les Œuvres, t. 2, éd. Guiffrey, 1875.djvu/38

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Prendre repos dessus des vertes fueilles
Avecques moy ceste Nuict seullement.
J’ay à souper assez passablement,
Pommes, Pruneaux, tout plein de bon fructage,
Chastaignes, Aulx, avec force Laictage.
Puis des Citez les Cheminées fument,
Desjà le feu pour le soupper allument :
Il s’en va nuict, et des haultz Montz descendent
Les Ombres grands, qui parmy l’Air s’espendent.


Vers 167. Des pommes doulces P tout plain de bon fromage. Chaftaignes molles } auec force laiElage (a). 169. Et puis des villes les cheminées fument (b).

— Et des maifons les cheminées fument (c). 172. Les grandes vmbres qui parmy lair fefpandent (d).

— Les grandes vmbres , & parmy l’aer s’efpandent (e). (a) G. Tory, 1532 ; I. de Channey ; P. RofFet, 153+ & 1 53 S ’ Éd. 1537-

— (b)G.Tory, 1532 ; I. de Channey ; P. Roffet, i$34& IS3S- — (c)Éd.i$37-

— (d) G. Tory, 1532 ; P. RofFet, 153+ & 1535. — (e) Éd. 1537-