Page:Martineau - Dupleix et l’Inde française, tome 2.djvu/536

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    où ils sont encore. Toutes ces circonstances des plus glorieuses pour la nation et qui doivent inspirer plus que jamais la confiance, nous ont engagés à faire chanter un Te Deum en actions de grâces. Nous vous prions de nous imiter en ce point à la réception de la présente. » (C. P. Ch., t. 3, p. 28-29.)