Page:Martineau - Dupleix et l’Inde française, tome 2.djvu/566

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vaient exister entre André Dupleix, qui vivait en 1560 et Guillaume Dupleix qui vivait en 1537 et d’où descendit le gouverneur de l’Inde.


p. 88. — dernière ligne.

Au lieu de Marie Françoise Xavier, dite Chonchon, née le 28 octobre 1736, lire :

Marie Françoise Gertrude, dite Chonchon, née le 28 octobre 1736, mariée en 1757 au marquis de Montlezun, morte à Paris le 17 mai 1759.


p. 336-337

Nous ayons dit en ces pages que Dupleix avait eu l’idée de faire reconnaître et d’exploiter à son profit les terres australes et il avait proposé, Lozier-Bouvet pour cette reconnaissance.

On croyait alors couramment qu’il existait un grand continent habitable au sud de l’Afrique. L’idée de Dupleix ne fut pas perdue. En 1738, la Compagnie des Indes envoya au Brésil les frégates l’Aigle et la Marie, commandées par les capitaines Hay et Lozier-Bouvet. Partis de l’île Ste-Catherine en se dirigeant vers le sud-est, ils ne rencontrèrent aucun continent mais seulement, le 1er janvier 1739 une île fort élevée, escarpée, chargée de glaces et inabordable, à laquelle ils donnèrent le nom d’île de la Circoncision, qu’elle n’a pas conservé. En l’honneur de cette reconnaissance, on lui a donné le nom d’île Bouvet. La petite expédition revint en France le 24 juin 1739.

En réalité le continent austral que soupçonnaient nos pères se trouvait beaucoup plus au sud : c’étaient les terres polaires.


ERRATUM DE CE VOLUME

p. 51. Titre du chapitre : L’Administration de Dupleix et les fonctionnaires civils de l’Inde : supprimer : civils.