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NOTES D’UN VOYAGEUR.

« Mais voilà que le corps nous tomba sur les genoux. Il n’avait plus de tête, madame… elle avait été coupée par un tunnel. Et le cou ne saignait seulement plus ; tout avait coulé le long de la route… »

Une des dames poussa un soupir, ferma les yeux, et s’abattit vers sa voisine. Elle avait perdu connaissance…


'Notes d’un Voyageur ont paru dans le Gaulois du 4 février 1884.