Page:Merlant - Bibliographie des œuvres de Senancour, 1905.djvu/82

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Critique militante » (Déisme et Christianisme) communiqua en 1888 à l’Académie des Sciences morales un mémoire intitulé : « Une évolution philosophique au commencement du XVIIP siècle. » En 1897, il a donné son livre, très étudié : « Un précurseur, Sénancour, avec des documents inédits. »

Alvar Tornûdd a donné, en finlandais, un autre livre sur Sénancour, avec de l’inédit (Helsingfors, 1898).

J. Texte a donné, dans « The modem quarterly of Language and literature » de novembre 1898, un article sur la jeunesse de Sénancour d’après des documents inédits.

A. Le Breton a consacré à Obermann un chapitre de son livre sur « Le roman en France au XIXe siècle avant Balzac ».

Ch. Morice, dans « La littérature de tout à l’heure », écrit quelques pages sur Sénancour (p. 179-187).

V. Giraud, dans la Revue de Fribourg de janvier 1904, a publié quelques pages à propos d’une lettre inédite de George Sand à Sénancour.

Edmond Pilon, dans « L’Ermitage » de juillet 1904, écrit sur Obermann un article pieux et charmant, très subjectif.

Voici enfin une liste d’œuvres où l’influence de Sénancour, à des degrés divers, se retrouve :

Ch. Henri d’Ambel, Le trappiste d’Aiguebelle.

Bergounioux, Jules.

Champfleury, Le Réalisme.

Coligny, L’Art et la vie de Stendhal.

Delvau, Au bord de la Bièvre.

Perd. Denis, Le Brahme voyageur.

Drouineau, Résignée.

Fortoul, Grandeurs de la vie privée.

A. Houssaye, Histoire du 4ie fauteuil de VAcadémie

française (p. 320-323).

G. de Nerval, Les filles du feu, la bohème galante.

Jay, Œuvres (1er vol.) (collaborateur de Sénancour,

avec H. de Latouche, à Y Abeille de 1820).

Biémont, Le pelit-fils d’Obermann.

Monselet, Introduction à Armance.

Poitou, Du roman et du théâtre contemporain.

Michelet, De Vamour.