Page:Michaud - Poujoulat - Correspondance d’Orient, 1830-1831, tome 1.djvu/221

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l’honnête industrie ne s’attache pas a la découverte, des ruines ; ces messieurs-là n’auraient pas grand parti à tirer d’une ville cachée sous l’herbe ; ce n’est pas une cité comme Azania qu’il leur faut, mais une ville bien fournie de toutes choses, une ville habitée par des gens dont les coffres soient bien garnis. Ces sortes de voyageurs ne manquent pas ordinairement de passer par Smyrne, et d’y laisser, au lieu de regrets, de bons avertissemens et d’utiles leçons.