Page:Mikhaël-Mendès - Briséïs, Dentu.djvu/32

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MAÏS
Et que son amoureuse est moins belle que nous.
Quc)<;uM-une:tcommencentà lier ))y)as do lierres, (t’autt’es lui
jettent des (leurs. Hytaslève le frunt. est très plie. I) regarde,
étonne, le lieu inconnuet les jeunes paasante~.
UYLAS
Qui donc êtes-vous, jeunes étrangères,
Dont tes mains blondes et tcgces
Me réveillent avec des neurs ?
Il se teve brusquement.
Je me souviens!
Vers la mer
0 mer sauvage û vents hurleurs!
Comme des chiennes en furie,
Les vagues ont mordu ma gatère meurtrie.
La haine de la nuit nous a caché les ports.
Dans les solitudes marines
!ts dorment mes compagnons morts,
Les rameurs aux belles poitrines!
Briséïs, j’ai jeté ma riche cargaison
Dans les tristes mers glaciales,
Les vagnfs m’ont repris les pertes nuptinips
Que j’apportais vers ta chère maison.
Il se tai~e tomber,la tutf entre les mitins.
~AfS
Qu’importe! Suis nous vers la ville en fête.
MYRTO
Tes malheurs sont finis, puisque nous suurions.
MYMntNA
Devant nos yeux pleins de rayons,
Peux-tu songer à la tempête ?