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LE RIDEAU LEVÉ


l’effet de la détente, lorsqu’elle me verrait prête à décharger ; il se mit ensuite sur moi, et m’introduisit son vit dans le cul. Rose remuait la charnière supérieurement ; je tenais ses tétons, elle caressait les miens ; elle suçait ma langue, je me mourais. Au moment où j’allais perdre connaissance, elle fit décharger le godmiché ; mon con en fut inondé, et le foutre que mon papa répandit en même temps dans mon cul, excita en moi des transports qui se joignirent aux siens et à ceux de Rose, qui, par le frottement du godmiché sur son clitoris, les lui fit partager ; enfin je tombai sur elle, morte de plaisir. Mon papa se releva bientôt, et quand je fus revenue de cet évanouissement enchanteur, nous sortîmes du lit qu’il était près de midi.

Dès que nous fûmes debout, elle n’eut rien de plus pressé que de passer à l’examen de cet outil si nouveau pour elle. Je l’aidai à en désunir toutes les parties : il était parfaitement semblable à un vit ; toute la différence consistait dans des ondes transversales depuis la tête jusqu’à la racine, pour procurer un frottement plus actif. Il était d’argent, mais couvert des couleurs de la nature et d’un vernis dur et poli. Il était vide, mince et léger. Dans le milieu de l’espace, il y avait un tuyau du même métal, rond et plus gros qu’une plume, dans lequel il y avait un piston ; ce tuyau se vissait à un autre bout percé et soudé au fond de la tête. Il se trouvait par ce