Page:Mommsen - Histoire romaine - Tome 6.djvu/237

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’ CHAPITRE III cnuris oxs`1.'o1.1a.mcn11a. rniêroivoiâmucxs h ' I ms rouriâa , La constitution donnée par Sylla se tenait encore La constitution debout. L’orage suscité par Lépidus et Sertoriusavait été Coïàîxaélle écarté sans de trop grandes pertes. Mais l’édifice conçu °"m°~*¤"““€· par l’énergique pensée du dictateur restait ai demi cons- truit, et le Sénat avait négligé de l'achever; C’est ainsi . que sans abandonner formellement sa main—mise sur les terres destinées par Sylla aux allotissements, mais non , encore divisées en parcelles, le gouvernement n’avait en aucune façon procédé a leur partage : bien plus il les lais- sait provisoirement, et sans régulariser les -titres, dans la main des anciens propriétaires : ailleurs et sur des fonds domaniaux, de méme impartagés,.il tolérait que certains A individus vinssent·arbitrai—rement s’établir,`en vertu de * cette ancienne pratique de Poccupation, abolie pourtant - de fait et de droit par la réforme .des Gracques (V, p. 357).. Quant aux mesures diverses prises par le dictateur, on les ignore ou on les annule suivant qu’elles sont indifférentes