Page:Monselet - La Franc-maçonnerie des femmes, 1861.djvu/257

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Une longue méditation succéda à l’agitation provoquée par cet entretien. Voici quel fut le résultat de cette méditation :

— Il n’y a qu’un moyen de sauver Philippe, pensa-t-elle, et pour cela il faut qu’Amélie soit franc-maçonne. Mais comment ?

À cet instant, ses yeux tombèrent sur la lettre signée Caroline Baliveau.

— J’ai un espoir ! dit-elle.