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Que n’est-il demeuré, cet ami que je pleure,
Ô nymphe, à ton culte attaché,
Pour se mêler encore au souffle qui t’effleure,
Et répondre à ton flot caché !
Que n’est-il demeuré, cet ami que je pleure,
Ô nymphe, à ton culte attaché,
Pour se mêler encore au souffle qui t’effleure,
Et répondre à ton flot caché !