Cette page a été validée par deux contributeurs.
VII
Quand pourrai-je, quittant tous les soins inutiles
Et le vulgaire ennui de l’affreuse cité,
Me reconnaître enfin, dans les bois, frais asiles,
Et sur les calmes bords d’un lac plein de clarté !
Mais plutôt, je voudrais songer sur tes rivages,
Mer, de mes premiers jours berceau délicieux :
J’écouterai gémir tes mouettes sauvages,
L’écume de tes flots rafraîchira mes yeux.