Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/157

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VI

L’eau qui jaillit de ce double rocher
remplit ce long bassin d’une onde trépillante ;
les frênes, les ormeaux, où viennent se percher
linottes et serins,
lui font une voûte ondoyante
qui garde mieux qu’un toit
de tuiles, lorsque ainsi Sirius pique droit.