Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/44

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toi, sistre et plectre d’or, et médiation,
et seul arbre debout dans l’aride vallée,
ô démon, prends pitié de ma contrition ;
éblouis-moi de ta tiare constellée,
et porte en mon esprit la résignation,
et la sérénité en mon âme troublée.