Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
mises sous enveloppe ici, et envoyées à madame Aubernon, qui te les fera passer. Tu auras soin seulement de donner l’adresse ou plutôt les adresses des endroits où il faudra les envoyer.
» Je ne m’étonne pas que tu te plaises auprès de notre excellent oncle. Dis-lui bien, je t’en prie, combien je l’aime, combien je serais heureux d’être près de lui, comme toi. Dis-lui qu’il est resté et restera dans mon souvenir comme l’homme dont le mérite et le caractère m’ont inspiré à la fois le plus de sympathie et de respect.
» Adieu. Écris-moi surtout. Tes lettres me feront grand bien. Je t’embrasse.
» Alfred.
» Jeudi 1er décembre (1842). »