Page:Musset - La Confession d’un enfant du siècle, vol. II, 1836.djvu/342

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pressèrent le pas et disparurent dans la foule. Une heure après, une chaise de poste passa sur une petite colline, derrière la barrière de Fontainebleau. Le jeune homme y était seul ; il regarda une dernière fois sa ville natale dans l’éloignement, et remercia Dieu d’avoir permis que, de trois êtres qui avaient souffert par sa faute, il ne restât qu’un malheureux.