Page:Nerval - Aurélia, Lachenal & Ritter, 1985.djvu/171

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Dieu ! Mon Dieu ! que je vous remercie ! Votre œil rencontrant le mien, votre main serrant la mienne, vous savez bien que c’était assez, n’est-ce pas ! Et qu’importe que je n’aie pu vous dire un mot ? J’y aurais peut-être perdu ce bonheur de tout un jour d’illusion, cet adoucissement passager, qui me donne la force de souffrir encore !