Page:Nerval - Le Rêve et la Vie, Lévy, 1868.djvu/229

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Tout le monde se tut après ce récit ; chacun gardait la pensée étrange qu’excitait une telle vie et une telle mort. L’abbé reprit en se levant :

— Si vous voulez, messieurs, que nous changions ce soir la direction habituelle de nos promenades, nous suivrons cette vallée de peupliers jaunis par le soleil couchant, et je vous conduirai jusqu’à la Butte-aux-Lierres, d’où nous pourrons apercevoir la croix du couvent où s’est retirée madame Desroches.