Page:Nerval - Le Rêve et la Vie, Lévy, 1868.djvu/325

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ramène trop souvent les mêmes formules. Elle rend le récit poétique ennuyeux et lourd le plus souvent, et est un grand obstacle à la popularité des poëmes.

Je renvoie ici le lecteur aux Filles du feu, dans lesquelles j’ai cité quelques chants d’une province où j’ai été élevé et qu’on appelle spécialement « la France ». C’était, en effet, l’ancien domaine des empereurs et des rois, aujourd’hui découpé en mille possessions diverses.