Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/107

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moins solides commençaient à s’écailler en compartimens bizarres et béans, que la marche d’un curieux plus téméraire que moi n’aurait pas sondés impunément. J’entraînai brusquement mes camarades vers la muraille de gauche, où le passage paraissait moins hasardeux. Elle était garnie de tableaux.

— Aussi vrai qu’il n’y a pas de Dieu, ce sont des tableaux, dit Boutraix. L’ivrogne qui a engendré ce malotru d’arriero serait-il venu jusqu’ici ?

— Eh non ! lui répondit Sergy avec un sourire un peu amer. Il s’endormit sur