Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/108

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le parvis de l’église de Mattaro, parce que le vin qu’il avait bu l’empêcha d’aller plus loin.

— Je ne te demande pas ton avis, reprit Boutraix en braquant son lorgnon sur les cadres disloqués et poudreux qui tapissaient le mur en lignes inégales sous une multitude d’angles capricieux, mais sans qu’il s’en trouvât un seul qui ne s’éloignât pas plus ou moins de la perpendiculaire. Ce sont des tableaux en effet, et des portraits, si je ne me trompe. Toute la famille de Las Sierras a posé dans ce coupe-gorge.