Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/114

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

mains avec une sorte de frénésie. Lis plutôt !

Inès de Las Sierras, répliquai-je : c’est bien cela ; et ces trois montagnes de sinople sur un champ d’or devaient être les armoiries parlantes de sa famille. Il paraît que cette infortunée a réellement existé, et qu’elle habitait ce château. Mais il est bientôt temps d’y chercher un asile pour nous-mêmes. N’êtes-vous pas disposés à pénétrer plus avant ?

— À moi ! messieurs, à moi ! cria Boutraix, qui nous avait précédés de quelques pas. Voici un salon de com-