Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/115

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pagnie qui ne vous fera pas regretter les rues humides de Mattaro ; un logement digne d’un prince ou d’un intendant militaire ! Le seigneur Ghismondo aimait ses aises, et il n’y a rien à dire sur la distribution de l’appartement. Oh ! le superbe corps de caserne !

Cette pièce immense était en effet mieux conservée que le reste. Le fond seulement recevait la lumière de deux croisées très étroites, que la faveur de leur disposition avait préservées des dégradations communes à tout le bâtiment. Ses tentures en cuir imprimé et ses grands fauteuils à l’antique avaient