Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/269

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timent qui l’occupait, et j’essayai de le rassurer par un sourire. — Tranquillise ton cœur d’ami, lui dis-je avec expansion, sur les alternatives d’attendrissement et de gaieté que me fait éprouver ta singulière histoire. Elles n’ont rien que de naturel dans ma position, et tu en conviendras toi-même quand j’aurai pu les expliquer. Continue cependant, et pardonne-moi de t’avoir interrompu, car les aventures de la Pedrina ne sont pas finies.

« Il s’en faut de peu de chose, reprit Pablo. Elle fut ramenée dans son couvent, et placée sous une surveillance