Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/51

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phante : Voyez d’ailleurs ce qu’ont dit Voltaire et Piron ! l’altercation finissait ordinairement là, et il en remportait l’honneur, ce qui lui avait valu dans son escadron la réputation d’un excellent logicien. Avec tout cela, Boutraix était un bon camarade, et l’homme de l’armée, sans contredit, qui se connaissait le mieux en chevaux.

Comme nous nous proposions de nous remonter nous-mêmes, nous étions convenus de nous servir, pour notre voyage à Barcelonne, de la voie des arrieros, ou voituriers, qui abondent à Gironne ; et la facilité d’en trouver nous