Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/63

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à Dieu, pas difficile de s’en pourvoir, dans une ville telle que celle-ci ; mais il n’est pas en ma puissance d’élargir la maison pour vous recevoir. Sur ma foi de chrétienne, il n’y a de logement vacant qu’au château…

— La peste soit des proverbes et du pays de Sancho ! interrompis-je brusquement. Passe encore si ce château maudit existait réellement quelque part, car j’aimerais mieux y passer la nuit que dans la rue.

— N’est-ce que cela ? reprit-elle en me regardant fixement. C’est qu’en vérité vous m’y faites penser ! Le château