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lui pardonne d’avoir un peu trop aimé à boire !
— Il n’y a pas de mal, interrompit Boutraix. Que diable vit donc ton père au château de Ghismondo ?
— Raconte-nous cette histoire, reprit Sergy, qui aurait donné la partie de plaisir la plus raffinée pour un conte fantastique.
— Aussi bien, après cela, répliqua le muletier, leurs seigneuries seront libres de retourner, si elles le jugent à propos. — Et il poursuivit :
« Ce malheureux Ghismondo, dit-il,