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De mon existence entière
Un bonheur comme le tien !


III


Quant à toi, chère Laurette,
Pour que chacun ait son tour,
À jamais je te souhaite
Un intarissable amour.

Dans l’inévitable crise
De désirs toujours nouveaux,
Puisses-tu te sentir prise
Jusqu’aux moelles de tes os !

Heurtant toujours ton envie
À son âme de rocher,
Puisses-tu sentir ta vie
À la sienne s’attacher !