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ABACOT — ABAÏTE

ABACOT {ko) n. m. Double couronne sans ornements, que portaient autrefois les rois d’Angleterre. AbacuC (kul ;’). Hist. rel. V. Habacuc. Abad I", premier roi arabe de Séville, fondateur de la dynastie des Abadites. Après avoir affranchi sa patrie do la domination des califes de Cordoue, il régna à Séville i’usqu’en 1042, date de sa mort, sous le nom de l’imposteur Chalaf, dont il se déclara le premier ministre, et qu’il fit passer pour le calife ommiade Hicham II. — Abad II, roi de Séville, fils du précédent, mort en 1069. II continua heureusement les guerres entreprises par son père contre les chefs berbers et agrandit ses Etats, mais il dut payer un tribut au roi chrétien do Castille Ferdinand I". — Abad ni, tils du précédent, dernier souverain abadite, né en 1040, mort en 1095. Ce jtrince finit par soumettre Cordoue à sa domination ; mais, après s’être allié à Alphonse VI de Castille contre les musulmans de Tolède, il s’écarta de la politique do ses prédécesseurs en s’unissant au.x lîcriters contre les chrétiens ; il se retourna ensuite contre les Almoravidos, ses anciens alliés, mais fut vaincu par Yoûsouf Ibn-Tachfin, sultan du Maroc, qu’il avait appelé à son secours, et qui le relégua en Afrique, où il mourut. Ce prince était lettré et poète. AbADDON ou AbBADON (mot hébr. qui signif. perditioii, ruine, miirl). Ce ternie désigne, <ians le Lirrc de Joh, les Psaumes (^t les ProveriKS, le séjour do la mort, le Cliéol. C’est, dans YApncaliipse, l’ange do l’abîme, lo chef de l’armée d< !S sauterelles d’enfer, il On trouve ce mot écrit Abuadonna dans la Mcssiadc do Ivlopstock. AbaDEH, ville de Perse (Farsistan sept.), sur lo Kour ; environ lo.ooo hab. Sculiituro sur bois. AbADESAS ou SaN-JuAN de las AbADESAS, village d’Espagne, prov. de Girone, sur la rive g. du Tor ; .■,00 hab. Riches mines de houille. Abadiano, bourg d’Espagne (Biscaye), sur le Rio Durango, branche mère du fleuve côtier le Norvion ; 2.000 hab. En 1839, Espartero et Maroto se rencontrèrent aux environs, à l’ermitage San-Antolin, pour concerter la convention do Vergara, qui mit fin à la guerre civile. AbaOIE (Paul), architecte français, ne et mort à Bordeaux (1783-1868). Il éleva à Angoulême le palais de justice, la préfecture, le lycée, la prison, le portail do l’église Saint-André ; à Confolens, la sous-préfecture ; à RulTec, le palais de justice. — Son fils Paul, architecte, né à Paris en 1812, mort à Chatou (S.-et-O.) en 1884, fut attaché, en 184.î, aux travaux do Notre-Dame de Paris. 11 -fut inspecteur général des édifices diocésains (1872) et membre de l’Académie des beaux-arts (1875). Il a construit de nombreux monuments dans les départements de la Charente, de la Dordogno et de la Gironde. Citons, parmi ses plus remarquables travaux : l’église Saint-Ferdinand, à Bordeaux ; l’église Saint-Georges, à Périgueux ; à Angoulême, les églises Saint-Martial, Saint-Ausone et le très bel hôtel de ville. Archéologue de beaucoup do scionco et de goût, il a restauré un grand nombre d’édifices et a adopté dans ceux qu’il a construits lo style romano-byzantin. En 1874, son projet pour l’érection d’une église du Sacré-Cœur, à Paris, fut adopté au concours. Abadie (Louis), compositeur français, né vers 1814, mort p^resque de misère, dans un hôpital do Paris, vers 1858. Ses romances et ses chansons obtinrent do véritables succès de popularité : entre autres, les Feuilles mortes, la Fille à Jérôme. Abadie fit jouer au Palais-Royal une opérette intitulée Jeune Poule et Vieux Coq, et laissa un opéra-comique en deux actes, le Danseur de

Folies-Saint-Gcr-

de Galice, distr. de

coi-(/e, qui fut représenté, en 1867, main (th. Cluuy)-.

AbaDIN, comni. d’Espagne, pro

Mondoiiedo ; 4.540 hab.

AbadIOTES ou AbdIOTES, anciens pirates, d’origine sarrasme, aujourd’hui p&trcs et agriculteurs, qui habitent une vingtaine de villages dans l’ile do Candie, au S. du mont Id.a. — Un Ahadiote ou AnmorE.

— Adjectiv. ; Jtace abadioth ou Anoiort :. Di^^*""’ "’ ™’ ^" ’^'^^ noms dos pierres sacrées chez les Ihémciens. Syn. de bétyle. (V. ce mot.) Il Pierre que cyijéio fit dévorer par Saturuo à la place do Jupiter. V. CïBKLK. ’

Abadites, nom d’une dynastie maure fondée par Abad I" (V ce mot), et qui régna sur Séville au xi« siècle. — Un Abadite.

— Adjectiv. : Prince abaditk.

ABADIVA n. m. Poiss

mors du nord, et

que l’on connaît en

Bretagne sous le

nom de lieu.

AbADZAS (ihiiss)

Géogr. V. AuAziis.

Aba :, ville de

l’ancienne Plion 1

Fondée, dit-on, i

Abas, roi d’Ar^j

dont elle prit" !■

nom, elle fut détru

halu

..., V..U .ui uçuimc Cil uii,, mais u en roslo dos ruines portantes. Elle possédait un célèbre oracle d’Apollon. Abaffi on Apapfi I" (Michel), prince élu do Ti .sylvanio, gouverna ce petit Etat do 16G1 4 1C81, sous 1 l>rotoction dos Turcs. Après 1" ’ effort ottoman contre les Antr’

lu dernier grand

■’ ' ■■■ ),

mort

onort ottoman contre les Autrichiens (siège do Vienne)

! fioM r"""" "’""’ '■’}""•’<■’"' ?’ conserva jusqu’à sa mor, 

1690) 1 apparence du pouvoir. - Abaffi n,. son fils, qu m succéda, vit son pays annexé de fait à l’Autriche par la paix do Carlowitz, ot finit par mourir pensionné, mais captif, à Vienne, en 1713.

ABAÏ n m. Nom japonais du calycanlhe précoce, n Nom du mois d’aoii( dans le calendrier turc. ^„^ !^ù """"i " î* P’"'" ’^"""Pi’-nuo Ju Bahr-’el-’Azraq ou Nil Bleu, depuis sa source (s.osG m. d’alt.) jusqu’à .son entrée dans le lac Tsana (long, uo kil.). V. ’r/ii,. ’ ABAILARD. lli.st. V. AuÉLARD.

ABAISSABLe adj. <3ui peui, qui doit étro abaissé. ABAISSANT, ANTE adj. Qui est de nature à abaisser.

— Fig. Humiliant, dégradant : ^c/c abaissant. ProyïoA-i- //o/i AB.vissANTE. A la nn du règne de Louis XV, la politique du ijouvernemerit fut ABAISSANTE ^loiir la France. ABAISSE n. f. Morceau de pâte qui a été abaissé, c’est-à-dire sur lequel on a liasse le rouleau pour en diminuer l’épaisseur. L’abaisse forme la croûte de dessous d’un grand nombre de pâtisseries.

ABAISSÉE n. f. Action de baisser, de tenir bas ; t’ne ABAISSÉE d’ailes correspond à une course de quatre à cinq fois plus longue que l’envergure d’un oiseau. ABAISSE-LANGUE n. m. Instrumeni (|n’un.’ni)> !ni.-enmôdecino pour abaisser la langue, il PI. Des ABAISSE-LANGUE. V. ABAISSEOK. Action

qu"

Abaisse-langue

ABAISSEMENT n

d’abaisser ; état de

abaissé ; diminution de hâuti

Le froid détermine Tabaissement

du mercure dans le tlterniomètre. Il Diminution de force , d’intensité, d’étendue ; amoindrissement ; //abaissement de la voix, du ton. La concurrence produit /’abaissement des prix.

— Fig. Déchéance, afTaiblisse-

mcnt do pouvoir, d’autorité, etc. : Louis Xi travailla à Tabaisse-MENT de la féodalité, il Servitude ; humiliation forcée ou volontaire : // n’est pas (/’abaissement que l’ambition ne subi.ise, dans l’espoir de dominer. (J. Simou. ) [I Dégénérescence ; Abaissement de la littérature.

— Encycl. Algèb. Abaissement des équations. Abaisser une équation, c’est ramener la détermination de ses racines à la détermination des racines d’une ou de plusieurs autres équations d’un degré moindre. Lorsque le premier membre d’une équation, dont le second est égal à 0, peut se décomposer en facteurs rationnels, il suffit de résoudre les équations formées eu égalant ces facteurs à 0. Quand on connaît une racine a, {x — a) est facteur du premier membre, on trouve l’autre facteur en divisant par [x — a). Une équation peut encore être abaissée lorsqu’il existe entre ses racines une relation connue. Ainsi l’équadite bit

t que le

X’ +px’ + q = 0,

racines sont deux à deux égales et s, en posant x^ = y, est abaissée au t d’un

sure son rappro-

et les racines y’, //" de celle-ci une i eule aisément les valeurs de x par les formules X’ = y’ et x’ = y".

Une équation réciproque peut égaleniciit m-o al>aissée.

— Astr. L’abaissement de l’horizun r^i ranub’ (pie fait le rayon visuel rasant cet horizon MsiMr aii-d’-vs.,us de l’iiorizon rationnel du lieu. On appel astre, ou d’un point du ciel, l’angle qui . chôment de l’horizon. Ainsi le pôle subit, quand vers l’équateur, un abaissement égal à la variation de latitude. Les planètes vues de la surface de la terre paraissent plus bas sur l’horizon que si elles étaient vues du centre de la terre ; l’angle des deux directions mesure l’abaissement ; il faut corriger les observations de cet abaissement dû à la paralla.xe.

— Blas. Modification apportée à des armoiries pour rappeler une action déshonorante. V. ab.mssé (abaisser).

— Chir. Abaissement de la cataracte, Opération qui consiste à faire descendre au-dessous du niveau de la pupille le cristallin devenu opaque.

— Géom. .Abaissement d’uneperpendiculaire. V. abaisser.

— Pathol. Abaissement de la matrice. Descente de la matrice dans le vagin. V. prolapsus utékin.

— Physiq. Se dit de la température, pour signifier un refroidissement, n Par analogie, se dit aussi du potentiel électrique, pour signiJîer que sou expression numérique diminue. Il En acoustique, il y a abaissement du son lorsque celui-ci devient plus grave. l Abaissement duba7-omètre. Diminution de hauteur de la colonne mercurielle.

— Thcol. Abaissement du Christ, Etat du Fils de Dieu incarné qui a fait l’objet de longues et subtiles discussions ehtre les théologiens protestants. Les dogmatistcs ont relevé deux éléments dans l’état d’abaissement ; l’abandon de l’usage de la majesté divine, le revêtement de la forme de serviteur.

— Syn. Abaissement, abjection, bassesse. Ces trois mots forment gradation : abaissement est moins fort que bn.’iscsse, bassesse moins fort que abjection. L’abaisse7nent est le résultat d’une action, d’un accident ; il est relatif à un état précédent ; il s’applique à pi choses

ion, la

niqH.Uo

différentes : rusjirit, le (-aractè’re,"le •ioiii, la eu bonne p.arl. [.a /,/ , , i i i i, , tiel, de penii.-niciii ■ , ;l, ,. ,| „,, „„ , ,’ , exclut la Clishirral (inaiN ., 1,,/,,,, ;,,,.., le mépris. ■’

— Anton. Élévation, exhaussement. ABAISSE-PAUPIÈRE n. m. Instrument do chirurgie (ini sert à abaisser la paupière, n PI. Des abaisse-paupiéue. V. ABAISSEUR.

ABAISSER (de a, qui marque tendance, et bais.m-) v. a. Kendre plus b,as, diminuer la hanteiir d’une chose : Abaisser le tablier d’un pont. Il Faire aller en bas, porter plus en bas, faire descendre : Abaisser un store. Abaisser un voile .lur son vi.mqe. il Plier, courber : Abaisser une branche.

— Fig. Abaisser la tête. Se résigner, s’humilier. ,,— l’ar ext. Diminuer, rendre moins élevé, réduire : ’furr/ot vinilul ABAISSER les impôts qui accablaient le tiers état. Il Prendre, soit en chantant, soit en p ;ulant, une intonation moins élevée : Abaisser la voir. .Mniililir l’autorilé, le crédit, etc. ; ravaler, dégrader, :iMlir, humilier : ÏMuis XI ABAISSA Ics grands vassaux, fru.r qm s’élèvent seront ABAISSÉS.

-- Abaisser les ban-ières de douanes. Diminuer les droits do douanes, ou les abolir complètement.

— Algèb. Abaisser une équation, Réduire à un moindre degré une équation donnée. V. abaissement.

— Arithni. Abaisser un chiffre. V. division. abaîssée-

— Chir. Abaisser la cataracte. Déplacer le cristallin, et le faire descendre dans la partie inférieure du corj’S vitré, de manière qu’il ne puisse gêner la vision.

— Fauconn. Abaisser /’oi’seaw. Diminuer sa nourriinrhabituelle, afin de le rendre plus léger au vol et plu^ avide à la proie.

— Géora. Abaisser une perpendiculaire. Tirer une p- r pcndiculaire à une ligne, d’un point pris en dehors ’1 ■ cette’ligue. V. perpendiculaire.

— Hortic. Abaisser une branche d’arbre, La raccour-’ir, la couper près du tronc.

— Pâtiss. Abaisser lapâte, L’amincir en l’étendant ave ■ le rouleau.

Abaissé, ée part. pass. du v. Abaisser. Blas. Se dit d’une pièce mise au-dessous de la place que la rèi-le héraldique lui assi-

gne. Elle peut être

abaissée soit en signe

de déférence, comme

le chef qui se place

sous celui de l’ordre

dans les écus des

chevaliers de Malte,

soit comme peine im-

posée et marque d’in-

famie en souvenir

d’une action hon-

teuse. C’est ainsi que

saint Louis, voulant punir un noble qui avait mère , ordonna que lo lion de ses armes fût représente sans grilfes ni langue. Dans ce c ; est synonyme de diffamé. Le chef peut être a un simple filet de l’émail du champ qui le sur chevron ou la fasce sont dits abaissés quand ils sont mis plus bas que le tiers du milieu de l’écu. n Se dit aussi des oiseaux dont les ailes, non étendues, sont dirigées vers la pointe de l’écu : Fo/ ABAISSÉ. Z’ewïl-uo/ ABAISSÉ.

— Bot. Se dit de la lèvre inférieure d’une corolle labiée, quand elle forme un angle presque droit avec le tube. S’Abaisser, v. pr. Devenir moins

élevé, perdre de sa hauteur : Tous les jours les montagnes s’abaissent. (Buff.) Il Pouvoir être abaissé, descendu : Les stores s’abaissent et se relèvent à volonté. Il S’incliner, se courber, se baisser, se pencher vers : Quand on charge le chameau, il s’abaisse sur le ventre. (Buff.)

— Par ext. Perdre de sa force, de son volume, de son étendue ; diminuer de valeur ; s’atténuer : La voix des vieillards s’abaisse. Le prix de Vargent s’est abaissé.

— Fig. S’amoindrir intellectuellement, moralement, se dégrader, s’avilir : Avec Louis XV, la royauté s’abaissa. Il Condescendre à, se mettre à la portée d’un plus faible : Le maître doit s’abaisser à la portée des élèves, il Avoir ou Témoigner de la modestie, de l’humilité : // est quelquefois dangereux rfe s’abaisser ; car on prend au mot notre humilité. (Girard.)

— Syn. Abaisser, baisser. Baisser se dit des choses qu’on veut placer plus bas. Abaisser se dit des choses faites pour en couvrir d’autns. L’opposé de baisser est exhausser ; colui d’rti./ ; ’ ' I ; ’ '. (ir. Il Au iig., dans le sens d’humilier, on iir.i ’ : jt’ d’abaisser.

— Abaisser, a-, il.i hiiuilni, rabaisser, rabattre, ravaler. Abaisser cyii :< :, ,[’-111 pour désigner un médiocre abaissement ou mciiir un abaissement volontaire. Jiabaisser so dit de ce qui est élevé, noble, et que l’on chercho à déprécier. Jtabattre, c’est rabaisser vivement, en s’attaquant à un vice, à un ridicule : Rabattre la fierté, le caquet, etc. — Ravaler implique le contraste entre uno situation élevée que l’on occupait, et l’abaissement dans lequel on tombe ; L’ivrognerie ravale l’homme au-dessous de la brute. — Bumilier, c’est mortifier, donner de la confusion. Avilir emporte l’idée d’ignominie. Nous pouA’ons être humilié par autrui, nous ne pouvons être avili que par nous-niême.

— Anton. Elever, hausser, exhausser, surélever {sens pirip.). 11 Elever, vanter, exalter, ennoblir, glorifier, célébrer, honorer, immortaliser, illustrer, préconiser (.çe».s/i’^.), ABAISSEUR adj. m. Se dit des muscles dont la fonction ’ ' 1 ’ 'i 1 les parties auxquelles ils sont attachés : / ’ m : SSEUR5 071/

j’m.r . ::, , : , ;^ , ,. i :.teS ICS ÉLË-

— n. m. : ^’abaisseur

des sourcils empêche les or-

dures d’entrer dans l’œil.

H Abaisseurde l’aile du ne=.

Muscle qui abaisse l’aile

du nez et retient la narine.

On le nomme aussi viyrli-

forme, à , cause de sa res-

semblance avec uno feuille

do myrte, ii Abaisseur de

l’angle des lèvj-cs. Muscle

naissant de la face externe

de la mâchoire inférieure

et s’élendant jusqu’au coin

il se ter-

. Ce

Ole,

, , triangle, s’appelle aussi triangulaire dr>. I.rnx n AI,a,.s.9eHr de la lèvre inférieure, ou fan-é du menton. I-’etlt muscle niiiii r I ( i|ii :i,lril ifrjc ,|tn s’ait iilir à la ligne oblique exteriir , !• l,, , ;, , ’ niiii’.ur .i monte dans la lèvre inlVi 1,11 ,,,|( i n,.,’ |,, muscle orbiculaire. Il A/jri/. , 1., ,i, ,, , ; ,,,,,,,, ,„i,,, ,„,,,_ Nom donné à des muscles des r<’giniis sus et sous-livui-^ diennes : lo ventre antérieur du digastriquo, le poaucier du eon le mylohyo’ïdien et lo géniohyoïdien. «Abaisseur de ln ;l Lo muscle droit inférieur de l’œil, appelé aussi muscle humble. Il Abaisseur de la paupière inférieure. Petit faisceau ciiarnn qui fait partie du muscle paJpébral. Il Abaisseur de la tangue. V. abaisse-langue, ii Abaisseur de la paupière. V. abaisse-paupière. ABAITou ABET (bas lat. n/ip//im,,niênie sens) n. m. Pêch. Appât. ( X.) Ce mot s’employait aussi fig. dans le sens do Kuse : Car la vieille sait trop ri’ABAIT. {Maman de Renart.) AbaitEou Aba-ïtE, rivière du Brésil, affluent du .sao-traucisco super., rive g. (cours de 220 kil. environ).