GASTRITE
GASTRONOMIE
I ’0 n"o«l pas i. < st niiisililo
... , ^iMiuto iiiipor-
t.i ’iM^’oa^tic il<*a malaJios «i’os-
t, ^ rail, AU inuvoa d iiriP suDdo.
d un rrpa» liS| ;er (sans grraivso ;,
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>M ■’ et la (U’psinp. oi l’on doit
II .on des divers ahnii^nts.
I -. t’aciditi^ tuuilo oxpnindo en
a.- i-* l’Acide chiurhydnqup libre,
dtvi^iL^ Ia : lu cUlure laiblcment combmé, varie do 0,84 A o.y ;.
— r--ft .}.isiriguft. Certaines maladies d’oripino sp^c. 1 aioxio looomoirioc, la paralysie y^n^rale,
la . pUi|uos, eU’., provoi|ueni dos douleurs
i- -.. .. ôpt^asinque. Charooi, qui le premier les a diircrencieca delà ^asiral^ ;io. leur a donné leur nom. Le traitement no ditTùre pas >le celui mdiqu(> & gastkaLOIB.
— A’mfturr.i* gastrique. V. embarras.
OASTfUTC ,i/ri(" — du lat. çaster. tri. ventre) d. f. Pathol. liidaiimiation de la mcmurane interne do l’cstoaiac : A’/fV atteint d’une gastritr.
— K.NrYCi,. Paihol. On considère la gastrite, surtout la ptstnte xpontan^e. comme une atToction rare. La gastrite a éié diTisee, quant & sa marche, en • aieuù i et en - chronique • ; rclativoment aux causes qui la produisent, on la distinguo eo > çrastrito spontanée • et en « pistriic toxique ». V.. pour cette dernu^re, io mot kupoisonnemk.st.
— Gastrite aiguë. L>tiolof{ie en est mal connue, sauf ches les alcooliques. I^e premier symptôme est une douleur vive au creux t^piiK-astrique, ’douleur exagérée par la pf^smn et presque caraclcristique. Le malade a la laij . hlancho ou jaun&tro, une soif ardente, a ; Mit par les boissons acides. La températur ’vée. Les nausées sont fréquentes et les voni >.ctiiciiLs no font jamais défaut.
Le traitement consiste en diéte absolue, piqûres de morphine, glace sur la région épigastriquo. On peut donner do petits morceaux de glaco pour calmer la soif. On ao trouvera bien do grands lavements destinés à être gardés. Dans les cas moins graves ou après amélioration, on prescrira les alcalins et le régime lacté.
— Gastrite chronique. a gastrite chronique qui succède JV la gastnto aigué, se caractérise par des pesanteurs après tes repas, sensation de ballonnement à la région épi^astrique, renvois, palpitations, douleurs do tête. Plus tara viennent des aigreurs, du pyrosis : il revient A la liourho des gorgées d’eau salée. L’appétit est médiocre, la langue est blanche, surtout à jeun. Enlîn, au bout d’un tem[is variable, apparaissent les vomissemoots contenant une grande quaniité de mucus.
Lathi^rapeutiouo s inspirera de la cause. On supprimera : l’alcool, les aliments épicés, le poisson de mer, les légumes verts, et I on prescrira une bonne mastication. Le reste du traitement s’imposera d’après l’analyse da suc gastriouo et sera celui do l’hyper ou de Ihy’pochlorhydrie. Lufln, s’il coexiste une dilatation stomacale, on emploiera les moyens indiqués à cette maladie.
— Gastrite ulcéreuse. La gastrite ulcéreuse est plus connue aujourd’hui sous le nom de ulcère simple de l’estomac. File sera, par suite, traitée au mot olcëre.
— Ar : vétér. i^ qastrite ou inflammation de l’estomac, chei les animaux domestiques, existe rarement seule : le plus «ouvent, elle se complique d’entérite, et est alors mieux nommée gastro-entérite. Cette inflammation commune de lestomac et des intestins est ordinairement causée par des aliments altérés, moisis, et est alors un Tèritablo empoisonnement. Elle a pour symptôme l’inappétence, ta louleur à la pression épigastriquo, de la consti-Cipatton, puis do ia diarrhée infecte, souvent dysentérique, avec rejet do fausses membranes : les crottins sont coiffé*, selon l’expression consacrée ; endn, il y a un état de tlèvre caractérisé par l’accélération du pouls ot do la respiration. Traitement : chez les herbivores, supprimer d’abord les causes, avec boissons blanchies & la farine. breuvages émollients à la décoction de graine de lin, puis alcalins au bicarbonate de soude ; chez los carnassiers : bootllon gélatineux, boissons lactées avec œufs battus dans le lait, puis boissons alcalines.
OASTRO istro — du gr. go-ttrr, tros, estomac), préflxe qui entre dans la composition d’un grand nombre de mots, où il introduit l’idée de ventre ou a estomac.
OASTRO-ADTNAMIQUE adj. Se dit dcs affections gas-
inqiK’s accompairnées d a-lynamie.
OASTRO-ATAXIQUE a Ij. So dit d’uno affection gastrique .1.- .miii.ii ;;ir-o -lataxie.
GASTROBROSIE [stro. :t — da préf. gastro, et du gr. trotiM. ero-iioii n. (. Perforation do l’estomac. (Peu usité.)
OASTROCARPÉ, ÈE ’ntro — du préf. gastro, et du gr.
- ’ " - . 1 : -’ir iruii des agglomérations
de I -mont plongées dans la
»u^ ■ .■, -.o.
-- 11. f. pi. i uns marines rhodosporméos,
offrant lo cara .,. — i’nc gastrocarprk.
lu préf. gastro, et du gr. kèlé, lomac, à travers la partie aa-
GASTROCÈLT
tumeijri n. m ’
pcrif’ire de I.’i
GASTROCCLCS (ro-ifi’, nu GASTROCCELES (stro-séif
- n n m t’I l’.il’ont. Division dos niuHusquos céphalu-
P*’ '■ - " ’ ' ’ '"" ■ ’ ' • ’ l ’es. Comprenant los bé-
It" I’ sillon ventral distinct.
d’Or-
.|.es : ■ pour
" l.i i r.ni’li ; ./ulifhe, Ct
lux distincts. Leur tvpe
bigny. 1 les eana. type le les hast- est le t’
GASTROCUCNC rtro-kfn ) ou OASTROCHANA (stro-ké) 0. m, ’V'-nre do mollusques lamellibratn-hes. famille de» ga^’- ’ ■• ’ - . romprcnant des petits animaux pi^rforants. qn in long tube cal< :aire où ils saf.ritcnt eux
et . qui est mince, en coin, b&illantc en avant.
(Le-, gasirn.ncntrs comptent une trentainod’espëces vivantes et quelques autres fossUes ; tels sont les gastrochxna duftHSf de» mor^ d’Etirojm, et guxtraehxna angusta, du tertiaire français.)
OA8TR0CRâKXt>É8 [stro-k/) n. m. pi. Famille de mollusqut’s l-iiiicliiUranthes. ronfermanl los genres gastroc /uue ut fiatulane. (Les gastrochénidés sont tous niurInH : ils comptent des représentants dans toutes les mers et dans los terrains tertiaires. ) — Un oastrochi^.mdé.
OASTRO-CNÉMIEN adj. So dit des muscles jumeaux de lajanilieqiii ioruuMit la saillio du mollet. V. JiiaiitAU.
OASTROCÔEJQUB adj. Qui appartient A l’estomac et au côlon : h’piptoon tiASTRocÔLiiji ;E(ou grand épiploon). Veine
aASTP.OCOLigf R.
GASTROCÔXJTE n. f. Inflammation simultanée do l’ostomac et du culun.
GASTROCRITIE (s/ro, tt — du préf. gastro, et du gr. kntt’s. j’ige) u. f. Modo de divination employé par Kuryclés, devin d’Alhénos, et par sos disciples, los eurycléidts. (Kuryclôs prélondaii porter en son ventre un génie qui parlait en ses entrailles, Il était tout simplement un habile ventriloque. On Un avait donné lo surnom de Engastrimythe.)
GASTRODIDYME {jitro — du préf. gastro, et du gr. didumos. double) n. m. Monstre dont la partie inférioure du corps à partir des lombes est double. Syn. do psodyme.
GASTRODIE (stro-dt) n. f. Genre d’orchidées-néottiées. comprenant des herbes terrestres, aphylles, à rhizome renflé on tubc^cule^, à tige simple, à fleurs brièvement pédicelléos, disposées en grappes peu denses. {On en connaît sefit espèces, cb’ l’Iiidi’ et de la Malaisie.)
GASTRODONTE ou GASTRODONTA (stro) n. f. SoUS-
fronre de zoonites i,niolltisques gastéropodes), comprenant es formes à coquille mince ot vitrée. (On connaît six espèces do gastrodontes, toutes propres à l’Amérique du Nord : rcspôco type est la gasfrodonta interna.)
GASTRO-DUODÉNITE n. f. Inflammation de Tostomac et du duodénum.
GASTRODYNIE (stro, n( — du préf. gastro, et du gr. oduné, douleur) n. f. Douleur névralgique de l’estomac, avec sensation d’angoisse.
— Encycl. V. gastralgie.
GASTRODYNIQUE {stro, nik’) adj. Pathol. Qui a rapport à la gastrodynio : Douleur castrodynique.
GASTRO-ECTASIE (du préf. gastro, et du gr. ektasis, extension) n. f. Dilatation stom&calc. avec stase permanente (c’est-à-dire estomac qui n’est jamais complètement vide, même A jeun).
— Encycl. Cette dilatation survient : chez certains dyspeptiques placés dans de mauvaises conditions d’hygièno (défaut d’exercice, irrégularité des ropas, etc.), chez les hypcrchlorhydriques ou encore dans los cas de lésions des parois stomacales (ulcèro) ou par obstacle pyloriquo (cancer du pylore). Le traitement est indiqué à chacune do ces maladies.
GASTRO-ÉLYTROTOMIE n. f. Chir. Ouverture faite à la cavité abdominale, par incision du vagin.
GASTRO-ENTÉRALGIC n. f. Névralgie do l’estomac et de l’intestin.
— Encycl. La çastro-entéralgic provient d’une viciation do la nervo-motncitô do Testomac ot do l’intestin, soit qu’il y ait exagération des contractions musculaires provoquant un spasmo flxo ou mobile, ou qu’au contraire il y ait une diminution de ces contractions, une atonie plus ou moins complète. En général, la douleur survient uno demiheure après le repas : lo malade (souvent un arthritique) éprouve du gonflement, de la pesanteur stomacale, du ballonnement intestinal ; il est obligé de desserrer ses vêtements. Puis dos renvois, des rôgtirgitations surviennent qui lo soulagent. La thérapeutique devra distinguer la cause des douleurs : s’il existe une exagération du péristattisme avec de la diarrhée, l’opium et la morphine seront préférés ; si, au contraire, il y a atonie et constipation, on se servira exclusivement de la belladone. Eutin, dans tous los cas, tes calmants du système nerveux {valériane, bromure), l’hydrothérapie, lo massage, l’électricité sont employés avec avantage.
GASTRO-ENTÉRIQUE adj. Pathol. Qui a rapport A la gastro-entérite : Inflammation gastro-estérique.
QASTRO-ENTÉRITE n. f. Inflammation de la muqueuse do l’estomac et des intestins.
— Encycl. Pathol. La gastro-entérite est souvent causée par l’ingestion de caustit^ues ou do poisons, ou encoro par l’abus des boissons alcooliques, des mets épicés, etc. ; ontin on la voit survenir après une maladie infectieuse gravo.
I^s symptômes sont, suivant les cas, ceux do la gastrite, plus souvent ceux do rontérilo. Le traitement no dilfèro pas do celui indiqué pour les entérites.
Chez les nourrissons, la gastro-entérite se caractérise par des selles vordàtres, trè’^ abondantes, des vomissemoots et un affaiblissement rapide. On doit alors mettre l’enfant au sein d’uno bonne nourrice, ot si son état no s’améliore pas rapidement, lo faire vomir ot le purger au calomcl.
— Gastro-entérilc des nègres. Cette maladie, appelée aussi cachexie africaine et mal-cœur, résulte des mauvaises conditions hygiéniques ; elle .*.e caractérise par un mouvement fébrile irrégulior, des troubles ^asiralgiques, la décoloration des selles, des oedèmes, puis do l’anomio et, Unalement, la cachexie. I^ retour A un bon régime alimontairo sufflt en général A l’enrayer.
— Art vétér. La vraie gastro-entérite a été traitée A l’article oastritk. Mais, pendant do longues années, c’osl-A-diro tant qu’a régné la doctrine do Itroussais, on a appelé « gasiro-cnlénies • les maladies connues actuellemeut sous le nom iVnffertiuns tifptiiqucs, typhoïdes.
CASTRO -ENTÉROCÔUQUE adj. Qui a rapport A la gasiru-entérocôliie : Inflammation 0ASTRO-ENTÊK0C0LiQi.’ii.
OASTRO-ENTÉROCÔLITE n. f. Inflammation qui s’étend A resiuriia’". ."i riui’.'-tin t :r<-Io et au côlon.
GASTRO-ENTÉROPTOSE fdu préf. gastro, et du gr. entértjn. intestin, et ptôsis, chute) n. f. Déplacement de l’intestin ct de l’estomac, surtout en bas, par rclAcbcment des licramcnts snspenseurs.
— Encycl. Cette maladie provoque des douleurs vives, surtout pendant la période aigestivn ; oUo engendre fréquemment une constipation opiniâtre. Dans tous les cas, lo port do la ceinture dac sangle de Glénard esi obligatoire.
OARTRO-ENTÉROSTOBCIE (flo-mt — du préf, tïastm, ot du gr. entéron, intestin, ot êtoma, boncbo) n. f. Opération
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I qui consiste A aboucher l’intestin grMe A l’estomac, par .suite d’un obstacle pyloriijuo (pii empêche lo passage dos aliments do l’estomac dans l’iiiiesiin. (On no pratique la gasiro-ontérosiomio que lorsque l’ablation do l’obstacle [tumeur, corps étranger] est impossible.)
GASTRO-ÉPIPLOÏQUE adj. Anat. Qui appartient àl’estoniat- et A 1 épiploon ; Artfrcs GAsTRo-Erii’LoÏQUKs. Veines OAsiito-KpirLoiijUiis. Atrfs, Ganglions ûastro-ki’IPLOÏques.
— Pathol. Qui a rapport A la gaslro-épiplolto : Jn/lam^ mation GAsxRo-Êi’iPLolQnB.
— Encycl. Anat. Artères gastro-épiploiaues. Ces artères sont au nombre do doux : l’arlèro gastro-epiplolouc droite, ot l’artère gastro-épi plotque gauche. La droite, formé© par l’artère hépatique, naît Adroite ct au-dessuus du pyluro. Elle descend derrière l’estomac et va s’anastomoser an milieu do ta grando courbure avec la gastro-épiploïque gaucho. Elle fournit des rameaux aux doux faces de l’estomac, au duodénum, au pancréas et ii l’épiploun. La gaucho, formée par l’arlèro spléni(jue, fournit des rameaux gastriques et des rameaux cpiploïquos.
GASTRO-ÉPIPLOITE n. f. Inflammation de l’estomac et
de l’épiploun.
GASTRO-HÉPATIQUE adj. Anat. Qui appartient A l’ostoniac ot au foie : Les trois l’piploons sont : l’ép’ploon gas-TRO-HÉPATiQUK, l’ëpiploon gastro-coliquc et l’épiploon ga»tr o-s pi é nique. (Nysion.)
— Pathol. Qui a rapport A la gastro-hépatito : Inflam* mation GASTRO-Hi^ :pATigUK.
GASTRO-HÉPATITE n. f. Pathol. Gastrite compliqué©
d’hépatilo.
GASTRO-HYSTÉROTOMIE n. f. Opération qui Consiste A ouvrir la paroi abdominale ct l’utérus, pour extraire l6
foetus. Syn. oim-iration cks,rienne.
GASTRO-HYSTÉROTOMIQUE adj. Qui a rapport A la
gastro-hystérotoniie : Opération gastbo-uystérotomique.
GASTRO-INTESTINAL, AIX, AUX adj. Anat. Qui a rapport ù. l’estomac ot i l’intestin : Système gastro-intestinal.
GASTRO-LARYNGITE n. f. Inflammation do l’cstoniac et du larynx.
GASTRO-LARYNGIQUE adj. Qui a rapport à Tesiomac et au larynx.
GASTROLÂTRE (stro — du préf. gastro, ei du gr. laCrt’ucin, adorer) n. Personne qui vit pour ta bonne chère, qui se fait un dieu de son ventre : Le gas-TROLÂTHE est égolste et sensuel.
— Adjectiv. : Des hommes gastro-
LÂTRES.
GASTROLÂTRIE {stro, /rf — rad. gastrolàtre ) n. f. Passion pour la bonne chère, poussée jusqu’à unesorte de culte.
GASTROLÂTRIQUE {stro, trik’) adj. Qui a rapport à la gastrolâtrio.
GASTROLOBE {stro) n. m. Genre de tégumineuses-papilionacées. tribu des podalyriées, comprenant dos arbustes A feuilles opposées simples, A fleurs jaunes ou rougoAtrcs , disposées en grappes. (On en connaît plus de trente espèces australiennes, dont quelques-unes sont cultivées dans les serres pour leur port gracieux.)
GASTROLOGIE {stro, jt — du préf. Gastrotobe : d, fleur.
gastro, et du gr. logos, discours) n. f.
6cicnre qui traito de l’art culinaire et de tout ce qui s’y
rattache.
GASTROLOGIQUE [stro, jik’) adj. Qni se rapporte à U
gastrolo^ie.
GASTROMALACIE [stro. si — du préf. gastro, ot du gr, mala/cus, mou) n. 1". Uamollissement de la muoueuse stomacale. (La gastromalacio n’existe que chez les enfants ayant te choléra infantile. Tous les cas décrits chez l’adulte doivent être rapportés A la décomposition cadavérique.)
GA5TROMANCIE {stro, s( — du lat. gastrum, vase renflé, ot du gr. manteia, divination) n. f. Genre do divination qui so pratiquait au moyen do vases de verre ronds et pleins d^eau, placés entre dos cierges allumés. (On lirait des présages d’après les fig.res produites dans l’eau par le jeu do la lumière.)
GASTROMAWCIEN. ENNE {stro, si-in, en’) adj. Qui a rapport à l.i ga^iroinancie.
— n. Celui, celle qui pratique ta gastromancie. GASTROMANE {stro — du préf, gastro, ot du gr. mania,
fureur) n. Personne possédée do la gastromauio.
— Adjectiv. ; Des vieillards gastromanes. GASTROMANIE (ï/ro ni, — rad. gastromane) n. f. Amoor
delà liotiiic chère, poussé ju.squ’A l’excès.
CASTROMÊLE (j/ro — du préf. gastro, ct du gr. milo$l membre) n. m. Monstre qui a des membres accessoires, insérés sur l’abdomen.
GASTROMÉLIE(.i/ro, Il — rad. gastromèle) n. f. Monstruosité caractérisée par la présence do membres accossoïros insérés sur l’abdomen.
OASTROMÉLIEN. ENNE [stro. li-in, en’) adj. Sodit U’OOI.
monstre (le ta famille des gaslromèlcs. ’.|||
— II. m. : t’n (iASTItO.MrLlEN. ■’
GA5TROMÉUQUE (j/ro, lik’) adj. Tératol. Qui port à la gasiromelie.
GASTRO-MUQUEUX. EU3E adj. Se dit des airecliona dans lesquelles il y a irritation do l’estomac, accompagnée d’une sécrétion mu<|Uouse : /ievre gastro-MCQL’EUSE.
GASTROMYCIEN, ENNE (stro. si-in, en’} adj. Bot. Se dit des champignons globuleux ou sphéroldaux.
— n. m. pi. Groupe de champignons, de forme globu* Icusc ou spliéroïdalo. — t’n gastromy’cien.
GASTRONOME (j/ro —du préf. gastro, et du gr. nomo», loil n. Celui qni aime, qui sait apprécier la bonne chère ! . Cn des premiers oastronomes de Paris,
GASTRONOMIE (5/ro> ml— rad. gastronome) n. f. Art de la bonne chère.
— Fig. Art de donner un aliment A quelque passion*’ FUner est une science ; c’est la OASTRmrcnas de l’ftil. (Balz.)
rap-
