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Gastronomie (l) ou l'ffomme de> champ» à table, poômo en ([uatro chants, par Borchoux (1800). — Dans lo prcmior, il retrace rapidomont l’histoire de la cuisino des anciens ; dans les suivants, il dissorte sur lo premier service, sur lo lecond tervire et sur lo dessert. Lo poème contient quelques intéressants épisodes : ta Mort de Valet, l’Etape da soldat, l’Ivresse du poutre, le Dessert, le Café, etc. Pour bien jugor cette œuvre, il faut y voir non un traité dogmatique, un poOmo didactique, mais un simple badinage satirique. Do la facilité, de l’esprit, do la gaieté, et même de la verve, excusent des manques de goût ou les négligences d’an stylo quelquefois incorrect, mais vif et facile.

CASTRONOHIQDE (stro, mik’) adj. Qui a rapport à la gastronomie : Les connaissances gactbonomiqoks sont nécessaires à toM les hommes. (Brillat-Sav.)

OASTRO-ŒSOPHAGIQUB adj. Qui a rapport à la gastroœsophagite : In/lammaliun gastro-oûsopuagiqoe.

OASTRO-ŒSOPHAOITE o. f. Inflammation simulunéo de l’oslonia’ : et do l’œsophage.

GASTROPATHE (siro — du préf. gastro, et du gr. pathos, souffrance) n. et adj. Qui est atteint d’une maladie de l’estomac ou des voies digestives.

GASTROPATHIE is(ro, t !— rad. gastropathe) a. f. Souffrance de lestomac.

GASTRO-PÉRITONITE D. f. Inflammation simultanée de l’estomac et du périioioo.

OASTRO-PÉRITONIQUE (nif) adj. Qui se rapport© à l’esiomac et au péritoine.

GASTROPHORE (stro-for) adj. Qui porto un ventre proéminent.

GASTROPHORIE (slro-fo-ri) n. f. Obésité qui se borne au veiilro.

OASTRO-PBRÉNIQDE adj. Anat. Qui a rapport à l’estomac et au diaphragme.

OASTROPHYSB istro) n. f. Genre d’insectes coléoptères phytophages, famille des chrysomélidés, tribu deschrysomélinés, comprenant do petites formes à abdomen souvent très renflé. & téguments de couleurs vives ou méialttques. (On connaît quelques espèces de gastrophyses, réparties sur Ihémispiière boréal. Doux habitent la Franco et vivent sur les polygonées des genres rumex et polygonum. La gastrophysa polygoni, rousse, avec les élytres bleus, est très commune.)

GASTROPODES n. m. pi. Zool. "V. GASTEBOPODKS.

GASTROPTÈRB (stro) ou GAS-TROPTERON (stro-pté) n. m. Gcoro Gjstrophyse ier. * foi de mollusques gastéropodes, famille dos gastroptéridés, comprenant des animaux marins ovales, munis do larges lobes natatoires et d’une très petite coquille interne. (Les quelques espèces connues do gastroptères habitent la Méditerranco et l’océan Indien ; ces mollusques, do petite taille, vivent au fond de la mer dans lo sable, à une certaine profondeur. L’espèce type est lo gastropleron Meckeli, de la Méditerranée.)

GASTROPTÉRIDÉS (s(ro) n. m. pi . Famille de mollusques

f ;astéropodes opisthobranches tcctibranches, fondée pour seul genre gnstroptère. — Un gastboptëridê. GASTROPTOSE n. f. Pathol. Syn. de gastro-entéroptose. GASTROPYLORIQUE adj. Anat. Qui a rapport à l’estomac et au pylore.

GASTRORRAGIE (s/ro-ra-j’t — du préf. gastro, et du gr. règnumi, je romps) n. f. Hémorragie do l’estomac.

— Encyci.. La gastrorragie provient surtout do lésions stomacales dans l’ulcère, lo cancer, les anèvrismes des vaisseaux, mais ollo peut encore survenir dans lo scorbut, la fièvre jaune ou, chez la femme, lors de l’absenco ou de l’insuftisance de ses règles. Dès que la gastrorragie est abondante, elle provoque un vomissement, noir de suio, dit hématémèse ou, s’il y a un rétrécissement du pylore, des solles couleur marc de café. Les symptômes do la gastrorragie sont ceux de toutes les hémorragies : syncope, pouls petit et fréquent, etc.

GASTRORRAGIQDE (stro-ra-jik") adj. Qui a rapport à la gastrorragie.

GASTRORRAPHIE (stro-ra-fi — du préf. gastro, et du gr. raphé. suture) n. f. Chir. Suturo faite pour réunir les plaies de l’abdomen.

GASTRORRAPHIQUE (s(ro-ra-/îA’) adj. Chir. Qui a rapport à la gastrorraphie ; Suture OASTRORRAriiiQL’E.

GASTRORRBÉE {stro-ré — du préf. gastro, et du gr. rhein, couler) n. f. Vomissement muqueux qui survient surtout lo matin, au lever. (On lo connaît surtout sous le nom lie pituite.)

GASTRORRRÉIQCE {slro-ré-ik’) adj. Qui a rapport à la gasirorrhco : Vomissements gastrorrhkiques.

GASTROSE [slroz’ — du gr. gastêr, tros, estomac) n. f. Maladie de l’esiomac en général. (Peu usité.)

GASTROSOPHIE {stro, ft — du préf. gastro, et du gr. sopltta, soionce) n. f. Scienco de la bonne chère.

GASTROSOPHIQUE {stro, fik’) adj. Qui a rapport à la gastrosopluo.

GASTROSPASME {stro-spasm’) a. m. Contractions spasmodittuo do l’esiomac.

GASTROSPLÉNIQOE Istro-splénik’— du préf. gastro, et du ^ :r. xfitcn, raiei adj. Qui a rapport à l’estomac et à la rate. CASTROSPLÉNITE [slro-splé-nif) n. f. Inflammation do l’ostoniao el île la rate.

GASTROSTÉNOSE [stro-sli — du gr. gastêr. tros, estomac, et sténos, étroit) n. f. Rétrécissement de l’estomac, dû en général à une cicatrice do blessure ou d’ulcère, ou à un cancer.

OASTROSTOMIE (stro-sto-ml — du gf. gastêr, tros. estomac, et stoma. bouche) n. f. Opération qui consiste à établir à travers les parois de l'abdomen ot >le l’estomac une ouvorturo permanente.

— EscTCL. En pratiquant la gatirostomie, le chirurgien crée une sorte de bouclio stomacale, par laquelle doivent être nourris les individus atteints d’un rétrécissement do l’œsophage. Cette opération est différente do la gastrotoraie, qu on peut considérer comme une taille stomacale pratiquée pour aller à la recherche des corps étranger».

GASTROSTYLE ou GASTROSTYIA (»(ro, »/i) n. m. Genre d infusoires hypotriches. famille des oxytrichidés, comprenant des animalcules allongés ou elliptiques et do forme persistante. (Les gastrostyles nagent librement dans l’eau douce. Quoique microscopiques, ils sont d’assez grande taille. Le gas trvstyla Steini taosura 1/75* demillim.)

GASTROSOCCORRHÉE (stro, ko-ri — du préf. gastro : du lat. succus, et du gr. rfiein, couler) n. f. Vomissement acide survenant plusieurs heures après les repas, el pouvant atteindre jusqu’à un demi-litre. (Ce n’est ou’un symptôme do lliyperchlorhydrie et parfois de l’ulcère simple do l’estomac.)

GASTROTHORACIQDE adj. So dit de la partie inférieure du muscle peaucier : Le muscle gastbotuoraciql’K.

GASTROTOKEns slro, ké-uss) a. m. Genre de poissons lophobranches, famille des hippocampidés, comprenant

Gastrotokeut.

des formes chez lesquelles les mâles portent les œufs disposés en rangées sur leur poitrine et leur ventre. (Les gastrotokeus sont des hippocampes de l’océan Indien ; l’espèce type est le gastrotokeus biaculeatus, de Malaisie.)

CASTROTOME {stro) n. m. Instrument servant aux opérations de gastrotomie.

GASTROTOMIE {slro, mi — du gr. gastêr, tros, cstoBiac, et lomè, section) n. f. Opération qui consiste à inciser l’estomac pour en extraire un corps étranger.

— Encycl. Les opérations abdominales que l’on désignait autrefois sous le nom do gastrolomie sont nommées aujourd’hui laparotomie. C’est qu’en effet, la gastrotomie, qui est une excellente opération, ayant donné de fort bons résultats, exige une véritable laparotomie, pour aller ensuite ouvrir l’estomac. Elle se pratique lors de l’ingestion de corps trop volumineux pour passer dans l’intestin, ou bien de couteaux, fourchettes, etc., qui risquent de produire uno perforation. Cette opération a été faite pour la première fois avec succès par Labbé, qui la pratiqua, en 1874, sur un jeune homme ayant avalé uno fourchette.

GASTROTOMIQUE {slro, mik’) adj. Qui a rapport à la gastrolomie : Opération GASTROTO.MlvJt-’B.

GASTROTRICHES (t/ro) n. m. pi. Groupe de vers pouvant éire réunis aux rotateurs. (Les principaux genres des gasirotriches sont : chélonote, ichlhydine, turbanetle, dasydite, etc.) — Un gastbotricbe.

GASTROTROQDE {stro-trok’t adj. Se dit des larves d’annélldes polychètes possédant, outre deux cercles ciliés aux deux extrémités du corps, des arcs ciliés sur la lace ventrale. (Lorsque ces cercles ciliés sont complets et s’étendent vers le ventre et sur le dos, la larve est dite amphitroque.)

GASTRO-VASCOLAIRE adj. Anat. Qui appartient au tube digestif et aux vaisseaux.

— Zool. Se dit des petits canaux qui vont du tube digestif des acalèphes à la périphérie de leur corps, et reviennent sur eux-mêmes.

GASTROXIE (stro-kst — du gr. gastêr, tros, estomac, et oxus, aigre) n. f. Maladie nerveuse do l’estomac, caractérisée par des crises gastriques douloureuses, avec vomissements acides et sans symptômes de dyspepsie dans l’intervalle des accès. Syn. de gastralgie.

GASTROXYNSIS {stro-ksin-siss — du gr. gastêr, tros, estomac, et oxunès, acidité) n. f. Pathol. Gastralgie avec hypersécrétion acide.

GASTROZOAIRES (s(ro-îO-ir’ — du préf. gas(ro, et du gr. zvon, animal) n.m. pi. Grande division des organismes, établie par certains naturalistes philosophes pour les animaux dont l’embryon apparaît avec une cavité générale bien différenciée. Un gastbozoaire. il Ancienne forme : gasteropode.

GASTROZOliDE {stro — du préf. gastro ; du gr. soon, animal, et eidas, forme) n. m. Zool. Individu nourricier d’une colonie de polypes.

— Encycl. Dans les colonies d’hydroïdes. les plus grandes loges sont occupées chacune par un polype muni d’une bouclie, de tentacules non réiractiles. et présentant uno cavité stomacale non divisée par des cloisons. Ce polype, qui no présenie pas trace d’appareil reproducteur, ost’un individu nourricier, un gastrozolde.

GASTRULA iîtru) n. f. Forme larvaire initiale, commune à tous les ani-

z .

maux métazoairost de l ’ë p o D ge à l’homme.

— Encycl. Tout EDÎmal provient d’un œuf par dos bipartitions suc- cessives. La segmontatioD réjfulière donne naissance par une s».Vrie u étapes (A, B,C, D, E. V. Aff- 1) à uno sphère creuse formée d’une seule couche de cellules et contenant une cavité appelée • cavité do segmentation « ou • cavité de Baer •. Cette sphère creuse s’appelle uno hlaUula. Au bout de q^uelquc temps, l’un des pôles de la sphère s’invagiae dans 1 autre (O, H, I,

Pig. 1. Schéma de !■ formatloD d’une trastruU par invagination : A, œuf : B, C. T>, E.^ étala

Bucctfssirs de la «cctnoDt.Mion rt^puliéro ; F. bl.i-

alula ;G. H, I. aannila : CS, c.iTit* de sopmeou-

tioo ; CG, iDtestla primitif ; b, blastopore.

GASTRONOMIE — GÂTEAU

Xg. 1), formant ainsi une gastrula par invagination ou embolio (I, fig. 1). Lorsque la segmentation est inégale, on obtient uno gastrula par épibolie [tig. 2) ; l’oeul" a un p61e protoplasmique ou formatif, et un pôle viteltinou nutritif. La segmentation inégale donne d’abord des cellules différentes : les unes très petites, les autres très grosses (B, C, /(</. î). Ce sont les petites qui, en se multi[diarit. vont recouvrir petit à petit les grosses cellules du polo opposé (D, / ?</. ’2). Les

f [rosses se divisant & pig. j srliéma ie 1» rormiUon d’an» eur tour, on linit par gaitrola par épibolie : A. B, c. I>. BUde» avoir uno gastrula dr rnrmaUoo ; E, gMtrulA. : ;/r, prolo-

qui ressemble à celle 5’»™» : ’^.""l*"’-'/- ’1^’™ !  !

I.,. fl , „..„ ;„„- feuillet externe : end, endoderme ou

dclaflgurel, quoique „„ ;„„ i^ume.

le procède epibolique

par lequel elle a été formée diffère beaucoup du procédé

embolique.

GASTRULATION {stru, si-on) n. f. Phénomène par lequel la larve provenant de la segmentation de l’œuf devient une gastrula.

GASTRUM (»/rom’ — mot lat. formé du gr. jajfèr, ventre ; n. m. Antiq. rom. Espèce de vase à large panse.

Gastyne (Jules Bf-s-oIt, dit Jules de), littérateur français, né à Sanxay (Vienne) en 1847. Il débuta comme journaliste eu province, puis se rendit à Paris (1869), où il a collabore à des journaux monarchistes. Il a publie : Mémoires secrets du comité central de la Commune [19’ i) ; les Tripoteurs (1873), et de nombreux romans, entre autres : l’Ecuyére masguée (1878) ; /’Amour et l’Argent (18841 : la Farand-de {ISii) ; l’Abandonnée {MSi : la Grotte du milliard (1835) ; le Séquestré (1886) ; les Frmmrs de Monseigneur (1888) ; le Drame des Chartrons (1888) ; Dimrc’s (1888) ; Pauline de Mériane (IS’-'J), etc. Au théâtre, il a fait jouer : le Roi de Malitou (1885) ; Us Petites Voisines (18S5) : Ui Vie commune (1887) ; .Jes anciennes (1889) : les Maris d’une divorcde (18921 ; le ^Vom fatal (1895) ; etc.

GasZTNSKI (Constantin), littérateur polonais, né i leziorna en 1809, mort à Aix en Provence en 1866. Il sesi-

fnala tout d’abord par des traductions en polonais d’œuvres e Schiller, de Bvron, de Lamartine, de Thomas Moore. Après les événements politiques de 1830-1831, auxquels il prit part. Gaszynski alla chercher un asile en France, à Aix. Il se mit alors à écrire en français et publia, outre des poésies, des études littéraires et artistiques, des scènes humoristiques. Il continua, cependant, à écrire dans sa langue maternelle et donna successivement : les Poursuites à chenal, drame (1858) ; le Joueur de cartes, satire (1859), qui rappellent la plus belle époque de la Renaissance poétique polonaise. Il fit paraître aussi on Voyage d’Jlalie (1853) et un Voyage en Corse (1858).

GAT {ga) a. m. Escalier pratiqué sur une côte escarpée, pour arriver à un embarcadère. ■ Grand escalier descendant d’un quai à la mer.

GÂT {gii). gAte [rad. gàlerl adj. Se dit d’anciens marais salants, envahis par les eaux douces.

Gâta (sierra de), chaîne de montagnes sauvages et déseries, continuant à l’O. la sierra de Guadarrama. prolongée par la sierra de Gredos. et se poursuivant en Portugal par la sierra da Estrella. Située à la frontière du rovaumo lusitanien, elle sépare le bassin du Douro de celui du Tage. Point culminant Peiia de Francia (1.735 m.). Gâta (cap de), promontoire d’Espagne, sur la Méditerranée (prov. d’Almeria), formant à l’E. la limite du golfe d’.AImeria.

GATANGIER {jié) n.m. on GATTA D’ARGA n. f. Noms patois, dans lo Languedoc, d’un squale, la petite roussette {scyllium catulus) ou roussette à grandes taches. GATATES (Guillaume-Pierre- . toine musicien français, né et mort à Paris (1774-1816). Il était fils naturel du prince de Conti el de la marquise de Silly. Destiné à l’Eglise, il s’échappa du séminaire parce quoi» voulut lui Interdire l’étude de la guitare. U composa des romances, et publia des méthodes de guitare de harpe, des sonates de harpe , des morceaux pour guitare , violon et flûte, etc. — Son lils, Joskph-I éon. harpiste, compositeur et écrivain, no et mon à Paris iiso5-lS77l. U acquit une grande habileté sur la harpe et publia pour cet instrument un assez grand nonibre de compositions. Mais son intimité avec Alp>ionse Karr lui fit délaisser la musique pour la critique et le journalisme, où il fit preuve d’ailleurs d’esprit et de mordant. — Fio-ix. frère cadet de Joseph-Léon, pianiste ot compositeur, né à Paris en 1809 il écrivit des ouvertures et des symphonies remarquables. Mais esprit excentrique et indépendant, il mena toujours une exisience vagabonde, visita l’Europe. r.mérique. l’Australie, semant partout ses œuvres sans protit artistique.

GatCHINA ou GattcHINA, ville de la Russie d’Europe Igouv. de Saint-Pétersbourg) ; 15.000 hab. Chiteau impérial.

GATE n. f. Nom patois, & Oleron, de l’alose finte (o/o«o /ÎNt.ii. Il A l’ile de Ré, on dit gatron.

GATE iprobabl. de l’espagn-jn/a, chatte) n. f. Nom d’une ancienne machine do guerre appelée aussi ctiatte.

GATÉAOO n. m. Pharm. Fruit de l’astronie à feuilles do frêne, qui est employé comme astringent.

GÂTEAU ((0— anciennem. gastel^ n. m. Pâtisserie faite avec de la farine ou de la fécule, du beurre et des nuis : Gâteau <iiu amandes. Gâteau feuilleté. ■ Gdtcau a la minute. ’V. TéT-FAtT.

— Par ext. Matière qui, après avoir été pressée, affecte la forme i’un gâteau : Gàteac de marc d’olircs.

— Fam. Profits, avantages qui résultent dune affaire, d’une entreprise : Se partaoer te gàtkau.

— Pop. Pire ou Papa gâteau. Mère ou Maman gileau. Père. Mère. Aïeul. .Meule, qui gâte ses enfants. ;Jeu do mois sur gâteau et gâter.)

— Anat. Citeau placentaire, La masse du placenta.