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Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, IV.djvu/877

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GiNiSTY (Paul),litti !ratciir ot dircctonr de théltre, né à l’aris on 1815. Il a collaboré & do nombreux journaux, notamment au ’ Gil Blas . où il a écrit uno rovuo biblio-Krapliumo- des articles sur les ventes et la curiosité, etc. On lui doit dos romans, des études do mœurs, dos pièces, au style alerte un peu cherché, souvent humoristique : les Idulles parisiennea, foésies (18SI) ; Mamiet du parfait réserviate (au) ; la Jnnije (188Î) ; lea Jlaslaquouérea (1883) ; Paria à la loupe{lW3) : la Seconde .mt (1884) ; /Amour <i ïroij(1884) ; Quand tamoitrva, tout va ! (,IS»’^) ; l’Année lutr <iir<( 1885 et suiv.l ; un Petit Ménage {IM9) : Choaea et gens de théâtre ( I89î) ; Ile Paria au cap Nord (180 !) ; la Vie, »«nea de loua lea mondes (1894) : la /(emn(nçon(e (1895) ; le Moutardier du pape i,l»92) ; la Vie d’un ihéHIre (1898) ; etc. Il a fait jouer, entre autres pièces : Crime et c/id/imen/(1888) ; leaûeux tourtereaux (%w) ; Jeune premier {m) Flagrant délit (189Î) ; On ne badine pas avec l’honneur {l»a2) ; la Cinguantaine (1895) ; iouis AV7/ ( 1895) ; Catherine de Itmjm (1896). Kn 1896, Ginisty fut nommé directeur de 1 Odéon avec Antoine ; mais, bientôt, ce dernier se sépara de lui, et Ginisty garda seul la direction.

OINKGO U’"l — "• japon.) n. m. Genre do conifères, tribu <les taxinéos. Il S’écrit aussi ginoko ou ginko.

— Encycl. Bot. L’espèce unique de ce genre(9inftyo bilolja oasalisbun/a adiantifolia) est un bol arbre de la Chine et du Japon, à feuilles persistantes, pétiolées, dont lo limbe, coriace et nabellilorme, est séparé on deux lobes par uno échancruro médiano. Ses fleurs sont t| dioï<)ues : lo tube pollinique met en liberté, au moment de la fécondation, deux gros anthérozoïdes ciliés ; l’ovule fécondé se transforme en une graine simulant un drupe dont le noyau serait représenté par le tégument interne ligneux ; l’amaudo crue ou grilléefournit un aliment estimé on Chine et au Japon. Introduit en Angleterre (1784), puis à Montpellier (1188) et do là dans toute la Franco, le giakgo réussit bien

men ?al <l :"s fo’s par« <" jardins des régions tempérées ; on lo multiplie par semis ; par greffage de rameaux femelles sur dos pieds mâles, on obtient des pieds monoïques.

_ Bot. foss. Le genre ginkgo est représenté à 1 état fossile dans lo permien inférieur par le gmkgo Marteneten- , ?. dans lo rhe^tien par le ginkgo antartica le jurassique par lo ginkgo dmlata, etc. Ce genre est très ancien ; .1 fomente jusque dans le terrain houiller supérieur do Pensylvanio, -* si on y fait entrer lo genre aaportea, qui son distinguo peu.

oiNKGOPHTLLnMijmfc, /om") n.m. Gfiredo conifères fossiles, dont les feuifles rappellent celles des gmkgos. (Elles sint alternes, décurrentes sur les rameaux, à contour plus allongé que les feuilles de ginkgo <="°*’f™^/’ P’"' sieurs fois bifurquées.se rapprochant des *«’«™„Ce Se"o est limité au permien ; on le rencontre à LodevelHérault].)

GiNNEKEN, comm. des Pays-Bas (Brabant-Septentrional), sur lo Mark, branche du Dintel, affluent de la Meuse ; 4.200 hab.

GINORIE ( >;, rf) n. f. Genre de lythrariées, tribu des

" vj , ,,,„^„,^„,,p, plabres à feuilles oppo-

Ameri-

Giukgo : a, ûeur mile ; b, fleur femelle.

lythrées, comprenant des arbustes glabres à fouil_les^o_ppo-

sées, à fleurs solitaires. 1 1> especo ’Jj"" S’"»"" „„„., ca.ia, croît sur le bord des deuves de Cuba ; ses fleurs

fleurs" solitaires. (L’espèce type, fleuves de sont bleues, assez grandes.)

GiNOSA, comm. d’Italie (Terre d’Otrante (prov. de LoccoJ), sur lo fleuve côtier Latepza ; 7.822 hab.

■GiNOOLHIAC ’Jacqucs-Marie-Achille), prélat français, né et mort i Montpellier (I80S-1875). Il professa la théo- "ogie au grand séminaire de Montpellier et fiit nommé vicaire général dAlx. Evêque de Grenoble en 1852, i dovTnt fn 1870, archevêque Je Lyon. Son ouvrage capital est uni mltoire du dogJe catholiaue pendant les trots prejmcrs siMes de l’Kghse. qu’il publia en 1852.

GINOUSCLE (ji-nomskl’) [ce mot a été déformé par uno faute typographiiue et figure dans les dictionnaires sous a forme actuelle smoi.Jilc’, çiui n’. ;. pas d existence réelle. Ginouscle est abrégé de /osinoii«(e, primitivement lachnousclcel so rattache au proven» ;. lach^ lait, lat. Inc, laclis , par allusion au suc laitoux do l’épurge.] n. f. Nom vulgaire do l’euphorbe ou épurge, dans certaines provinces du midi do la France.

OINSENG (n. chin.) n. m. Nom d’une droguo d’origine chinoise.

— Enctci.. Lo ginèeng est la racine d’une plante du genre panaXt section des

aralia, do la lamillo „u- • i

dos araliacées {panax ou aralia ginseng). Los Chinois la considéraient jadis comme un merveilleux tonique, leur ressource la plus précieuse après le thé. Le ginseng d’Amérique, découvert au Canada en 1712, ot qui parait jouir des mêmes propriétés, est la racine du panax çuiniyuefolia. qui n’est peul-éiro qu’une variété ie punax gtnseng. GiNUNGAGAP, lo Chaos, chez les peuples Scandinaves. GiNZO-DE-UMIA, comm. d’Espagne (Galice (prov. d’Orcnseii, sur le liinzo, branche supérieure do la iimin ; 6.400 halj ! Fabrique do tissus do lin et do laino ; exporta-

GîDSeDg et sa raciae.

tion de laino. Le territoire do Limia a et* surnommé le grenier do la Galice, à cause do sa fertilité.

GlOBERT (Jean-Antoine), chimiste italien, né à Mongardino, près d’Asti, en 1761, mort en 1824. Membre de l’académie rovale de Turin (1785), et professeur à I université de cette ville. En 1798. Grouchy le nomma membre du gouvernement provisoire de Turin ; cmpnsonnéau retour dos Autrichiens (1799), il recouvra sa liberté après Marengo. Professeur, après 1814,4 l’académie de Turin, il répandit en Italie les théories do Lavoisier. Il lit d importants travaux sur la culture des céréales, la teinture, etc. GlOBERTI (Vincenzo), philosophe et homme politique italien, né à Turin en 1801, mort à Paris en 1852. A seize ans. Il prenait l’habit ecclésiastique. Professeur â la faculté do théologie de Turin, puis aumônier de Charles-Albert, il se lia, en 1828, avec Manzoni et I>éopardi, et fut le collaborateur do Mazzini.sous lo pscudonymcdo nÉ-MO-PHILK. Détenu pendant quatre mois dans la citadelle de Turin, puis expulsé du Piémont (1833) comme soupçonné d’afllliation aux sociétés secrètes, il se réfugia à Pans et à Bruxelles. Ce fut alors qu il publia son livre du Primato, un do ceux qui ont eu le plus d’influence sur l’Italie contemporaine (1843). Les Prolégomènes du Primato, le Jésuite moderne et l’Apologie de ce dernier livre , accentuèrent ces idées, mais aux dépens do la papauté et de 1 idée roligiouso. Nommé député à Turin et à Gènes, élu président de la Chambre, il fut appelé par Charles-Albert au portefeuillo do l’instruction publique dans lo ministère Collogno (1848), et forma, la même année, le ministère dit rfi ?mocrfl/içue,quidevait pousser à la reprise des hostilités. Après Novare, il fut Giobertl. quelques jours ministre sans . portefeuille sous Victor-Emmanuel, puis envoyé à Pans pour solliciter l’intervention de la France. Il échoua, donna sa démission, refusa pension et honneurs, et reprit à Pans sa vie de travail et d’étude. Il publia, en 1851, sa Rénovation politique des Italiens, qui entraîna la mise à l’index de toutes les Œuvres de Gioberti, mais fut lu avidement on Italie. Outre ces ouvrages de politique, Gioberti a publié des livres assez peu originaux de philosophie pure : Théorie du surnaturel ; Introduction à l’histoire de la philosophie ; Lettre contre les erreurs politiques et religieuses de Lamennais ; Du beau ; Erreurs philosophiques de Ilosmini ; Itéformede l’Eglise. Peu d’hommes ont, autant que Gioberti, haï la France, qu’il tenait pour responsable, en partie, des divisions et do la longue faiblesse d© l’Italie.

GIOBERTITE (j’i — de Giohert. n. pr.) n. f. Carbonate naturel de magnésie, dont la formule est Mg CO", le poids spécifique de 2,99 à 3,15. (La giobertite est rhemboédrique, jaunâtre, et se dissout dans l’acido chlorhydrique. On désigne quelquefois cette espèce parle nom de magnésite, qu’il est préférable de laisser à l’écume de mer.)

GlOCONDO (Fra Giovanni), architecte italien, né à Vérone vers 1435, mort à Venise vers 1515. Fort jeune encore, il alla dessiner les ruines des monuments antiques de Rome, et composa un recueil de plus de 2.000 inscriptions, qu’il offrit à Laurent le Magnifique. Rentre dans sa patrie, il fut chargé de reconstruire le pont Dolla-Pietra. Tréviso lui demanda le plan de ses fortihcations. Appelé à Venise, il réussit à détourner la Brenta et à la conduire à la mer, puis il bâtit, à Vérone, le superbe palazzo del Consiglio. En 1499, Louis XII l’appela à Paris, où il bâtit lo pont Notre-Dame (1500-1507) et peut-être le Petit-Pont de VHotel-Dieu, et la façade orientale du château de Blois. Do retour eu Italie, en 1508, il construisit, à Venise, ii Fondaco de’ Tedeschi, décoré par Titien et Giorgione. En 1513, pour la reconstruction du Rialto,’il proposa un projet splendido qui ne fut pas accepté. Cette déception le décida à so fixer à Rome. Bien accueilli au Vatican, il fut nominé, en 1514, architecte do Saint-Pierre. Il consolida la basilique, dont Bramante avait négligé les fondations. Scaliger reçut do lui des leçons do philosophie, de grec, de latin et do sciences. Fra Giovanni était, en 1517, à Venise, où il publia les Commentaires do César, annotés et dédiés âJulien do Médicis, puis les ŒuDres do Julius Obsoquens, d’Aurélius Victor, et le De re rustica de Caton.

OIOCOSO (mot ital.) adj. Mus. Gai, joyeux, léger. (Se dit pour indiquer le caractère d’un morceau.)

GlOIA ou GlOJA (Flaviol, nom du marin d’Amalfi, oui, au dire d un certain nombre d’historiens, aurait invente la boussole vers 1300. En réalité, Flavio Gioia est un mythe ; la date et le lieu de l’invention sont controiivés, et c’est au milieu du xv" sièclo seulement que FLavio Biondo attribue pour la première fois à un Amairtuin la découverte do raiguille aimaotéo et do la boussole, dans lo vers bien connu :

l’rima Jedit naulis usum magnelis Amalfhis.

Glo’LA del Colle, comm. d’Italie (Terre de Bari) ; 17.055 hab. Commerce important d’huiles et do vins.

Gio’la de’ Mars !, comm. d’Italie (Abruizos [prov. d’.quila ;) ; 3. 010 hab.

GlOlA Sannitica , comm. d’Italie (Terre do Labour [prov. de Caserce ) ; 3.659 hab.

Glo’iA Tauro, comm. d’Italie (Calabre [prov. do Reggio)) ; 3.174 hab.

GlOIOSA lonica ’lat. .Vc/auruml, comm. d’Italie (Calabre [prov. do Reggio), près do la mer Ionienne ; 9.797 h.

GlOIOSA Marca, comm. du royaume d’Italio (ilo de Sicile Iprov. do Messine]) ; 5.325 hab. Filatures do soie.

GlOJA(Melchiorl, économiste italien, néâ Plais.ince en 1767, mon â Milan en 1829. Il quitta les ordres et lit adhésion à la république. Nommé historiographe d’Etat par Napoléon , il perdit cet emploi pour un ouvrage qu’il fit sur le divorce (1S03), et eut ensuite la direction do la stalisiique du royaume italien ; mais, ayant entrepris une guerre de pamphlets contre les hauts fonctionnaires, fut expulsé en 1811. Il subit, en 1820, une détention do huit

Giordano.

GINISTY — GIOTTINO

mois. Nous citerons de lui : Teoria del ditcrsio (1803) ; Tavole itntistiehe (1808) ; A’uo« protpetto délie aetenze economiche (I8i5-18i9r, Del mérita et délie recompense (Wt- 1819 ; Filosofia delta atatiatiea (182«).

CIOL f_ ;’i — lat. lolium, même sens) n. m. Nom volgaire do l’ivraie.

GlOLFIMO ou GOLFIMO (Nicolas), peintre italien, né â Vérone au xv- siècle. Il a peint principalemont à fresque. Ses meilleures œuvres so trouvent à Vérone. Rappelons les fresques qu’il a exécutées a Santa-Maria-in-Organo : la Mort de Goliath ; Pharaon englouti par les eaux de la mer Jioiige, etc. Il peignit dans 1 église Sainte-Anastasie une Descente du Saint-Esprit , et laissa des tableaux à l’huile, dont l’un, la Vierge glorieuse, est au musée de Berlin. GlORSANI (Vitale), mathématicien italien, n* à Bitonto, près de Bari, en 1633. mort k Rome en 1691. Christine de Suède lo nomma son mathématicien ; il devint professeur de mathématiques au collège do la SapicDce 11685) et fut élu membre do l’académie des Arcades, en 1691. Nous citerons, parmi ses écrits ; C^rso di maternatica (1686) ; De componendia gravium momCTiïi* ( 1685) ; Fundamentwn doetrim motus gravium (1686) ; etc.

GlORDANO (Luca), dit il Fa presto, peintre italien, né et mort à Naples (1932-1705 !. Il étudia sous Ribeira, puis sous Pierre de Cortone. L’avarice de son père, qui faisait le commerce de tableaux et qui le pressait sans cesse do produire , l’accoutuma, à une grande rapidité d exécution, d’où le surnom do F* presto. C’est ainsi qu’il improvisa une multitude de Rapnaëls, de Guides, de Véronèses, de Titiens, etc.,

3ue son père vendait pour es originaux. Cette première éducation étouffa son originalité.

Le roi d’Espagne Charles II l’appela auprès do lui en 1692. Glordano orna, en moins de deux ans, l’Escurial d’un nombre considérable de peintures, puis décora la salle des Ambassadeurs au palais de Madrid, le palais de Buen-Retiro, la cathédrale de Tolède, etc. Il quitta l’Espagne en 1702, un peu plus d un an après la mort de Charles II, retourna en Italie et rentra à Naples. Nul n’a plus contribué que Luca Giordano par son style brillant et incorrect à la décadence de la peinture en Italie. Le nombre do ses productions est immense ; le musée de Madrid, en contient à lui seul cinquante-sept. On compte quelques tableaux de cet artiste au Louvre : Mars et IVniu, Jésut enfant, la Présentation au temple, etc. Parmi ses meilleures toiles, rappelons : Vénus et l’Amour, Mort de sainte Cécile, Enlèvement d’Europe, Jugement de Paris, etc.

GlORDANO Bruno. Biogr. v. bbcxo. Giorgione (Giorgio Barbarelli. dit le), peintre vénitien, né à Castelfranco (Marche Trévisane) en 1471 ou 1478, mort à Venise en 1511. Il débuta magnifiquement par un grand tableau religieux : la Vierge accompagnée de saint Libéral et de saint François, dans l’église de Castelfranco. Il peignit des portraits et des Vierges, qui fondèrent sa réputation. Giorgione s’avisa, le premier, de couvrir la façade des palais de fresques immenses. Ilavait décoré sa propre maison . la casa Soranza, de la place Saint-Paul, la casa Grmani et, plus tard, en collaboration avec Titien, l’une des façades du Fondaco de’ Tedeschi. Parmi ses chefs-d’œuvre, si gnalons d’abord lo Concert champêtre (v. CoNCERTI [Louvre ], d’une poésie suave et d’une coloration si puissante. Tels sont aussi ses portraits. 11 vit tour à tour poser devant lui Gonzalve de Cordoue, le doge Léonard Lorédan, Catherine Comaro, reine do Giorgione.

Chypre. A tous il a donné un

éclat dans le regard, une apparence opulente et grave. Il a surtout animé ses carnations d’une chaleur de coloris qui n’appartient qu’à lui, et que les Italiens ont si bien appelée i( fuoco giorgionesen. Ses tableaux religieux sont dépourvus de sentiment. .Mais la Sainte Famille, du Louvre ; te Christ à la colonne : Saint Marc ; Saint .icolaa et aaiiit Georges apaisant la tempête ; Moïse sauvé des ’atLX, sont de superbes œuvres plastiques, d’une touche audacieuse et ferme, et d’un modelé irréprochable.

Malgré la brièveté de sa vie, les couvres de Giorgione sont assez nombreuses ; on peut mentionner encore, parmi les principales : le Christ mort, à Trévlse ; lea Tmt astrologues, à Vienne ; la Famille Giorgione, au palais Giovanelli. à Venise ; Moïse soumis à l’épreuve du feu, et enfin le célèbre Concert de la galerie Piiti.

GIORNO (À) ’o.rf ;ior-no — mots ital.] loc. adv. I jttéraicm. A jour ; d’unofaçon brillante, de manière à produire un éclat comparable â celui du jour : i’n éclairage k oioicio. GlOSA (Nicola DE), compositeur italien, né et mort à Bari(lS20-lS85>. Elève, du Conservatoire de Naples, il fit représenter au théâtre Nuovo ta Casa degli artiati (1844), nui fut bien accueillie ; Elvina (1845), puis Don Checeo, opéra bouffe dont le succès fut éclatant (18501, et enfin aborda le grand théâtre San Carlo avec un opéra sérieux intitulé Foico d’Arles (185r. Il produisit encore : 6uirfo Co/mar (1852) : un Gelosoe (.i < rrimo»cn (18551 ; .t.tconio il l, «i< ;nor^io( 18561 : /sella la v ! rednva. il Pipîj(re/(o (1875 , et ..ipAi :’ :

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_ . Ettore Fie-

^",6’ : /’.4rrico del

il Marito délia

_ Carnetale (1876).

ir fut surtout heureux dans lo genre bouffe.

GlOTTINO GioTTO di Maestro Stefano. dit), peintre du XIV siècle. Son surnom dénve de son véritable nom.

on la dit. de Ihabileté avec la-

i<ioTTo. et non pa». cuiiiii.t «.. . - -•• -• Al ..^K„« 

qucUo U imitait son maître, le grand Giotto. On lui attribue