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Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, IV.djvu/884

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GISORS — GIVAROS

zinc. Marché important pour l'approvisionnement de Paris. Ruines d'un château du XIe siècle. Église des saints Gervais et Protais (XIIIe, XVe, XVIe), avec bas reliefs et vitraux attribués à Jean Goujeon — Le canton a 20 comm. et 10.990 hab.

Histoire. Ancien chef-lieu du Vexin normand, ville frontière du département de Normandie, Gisors fut de bonne heure solidement défendue. Les fortifications les plus anciennes qui subsistent aujourd'hui ont pour centre un donjon octogonal, construit vers 1095 sur ordre de Guillaume II le Roux. Philippe Auguste, qui s'empara de Gisors, bâtit un second donjon rond, appelé tour du prisonnier, à cause des sculpture qu'y laissa im prisonnier inconnu.

Le comte de Gisors fut possédé par Blanche de Castille au XIIIe siècle, Blanche d'Évreux au XIVe, Renée, fille de Louis XII au XVIe. Le duc de Mayenne fit de Gisors une des forteresses de la Ligue pendant les guerres de religion ; le duc de Longueville en lit un asile de Frondeurs, sous la minorité de Louis XIV.

Gisors (Loais-Ma-

ne-Fouquct . comte dbI, rils du maréchal do Bollo-Isle, homme do guerre fraoca.is, n^ à Pans en I73t, mort & Neu^^s en I7S8. Colonel à dix-sept ans. il épousa, en 17&3. lUMt^ne Mancini, fille du duc do Nivernais, vovag^ea en Europe de I7S« à 17SS, et donnait les plus brillantes ospÀrances lorsqu’il mourut. & Tingt-six ans, d’une blessure recrue À la ba-Uille do Crefeîd.

Gisors (Henri-Al-

phonsc-Guy DR^. architecte français, membre do rinstiiut. né et mort à Paris (1796-1866). Il obtint lo deuxième ^and prix do Rome, on ld23, bfttit successivement 1 Hôpital dos cliniques, l’Amphitlit^àtrc de l’Observaloire, 1 Ecole normale, et fut nommé architecte du Luxembourg. A ce titre, il construisit la Salle provisoire des séances judiciaires où furent jugés Avril ot Fieschi (1834). 11 remania plus tard lo palais presi|uc tout entier et lui donna son aspect actuel. Il a publié, sur cette restauration, deux albums qui ont pour titre : Vues du Luxembourg agrandi et restauré et la Chambre de Marie de Médieis (1848,1. On lui doit encore une monographie : te Palais du Luxembourg (I847j. Il entra À l’Institut on 1854.

GiSQUCT : Henri-Joseph^ administrateur français, né & Voxin (Moselle) en 1792, mort à Paris en 1866. Employé, puis associé dans la maison de banque des Périer, il fonda une banque en 1825 et se lança avec succès dans les affaires industrielles. 11 prit part à la révolution de Juillet (1830). Chargé par le gouvernement d’acheter en Angleterre des fusils qu’il paya fort cher, il fut accusé de concussion, mais ût condamner ses accusateurs. En octobre 1831, il devint préfet do police, montra un grand courage pendant l’épidémie cholérique, mais se rendit impopulaire par sa rigueur contre les républicains et l’ordonnance où il enjoignait aux médecins, pharmaciens et directeurs d’hôpitaux, de signaler les noms des blessés do I insurrection do juin 1832. En 1836, il dut donner sa démission, devint conseiller d’Etat et fut élu, en 1837, député de Saint-Denis. Il fut de nouveau accusé do concussion par le • Messager ■, qu’il poursuivit et qui n’encourut qu’une faible amende. Révoqué de ses fonctions do conseiller d Etat , Gisquet renonça à la vie politique. Il a publié «es Mémoire» (1840) et l’Egypte, les Turcs et les Arabes < 1818,.

GiSSI, comm. d’Italie (Abnuzes [pror. do Cbicti]) ; 4.317 hab.

OtT ;i , troisième pers. du prés, de l’indic. du t. Gésir.

gItagE ijt-taj’) D. m. Tcchn. Dernière eau que l’on donne aux étotfcs foulées, dans l’opération du lainage, et conaisiant, après leur pa-tsage à ta vapeur, à les faire passer plusieurs fois de suite sur un chardon très flexible nommé turlututu en injectant do l’eau pendant toute la durée de l’opération.

— Constr. Poutres d’un grenier, l On dit aussi ofTB.

GITANE (_ ;ij n. on en espagn. QTTAVO iji) n. m., ot OITANA Ml n. f. lîuhémien ot bohémienne d’Espagne.

Ultaaet de Grenid’-

GITANELLE ji n. OU en espagn. OITANELLO (>i) n. m., et GITANELLA ji} n. f. Petit on petite gitane, polit ou potilc bohémienne.

OITANERIE [ji, rf) D. f. Tout ce qui regarde les gitanes et leurs nueurs.

OtTE ijf/’ — subst. verb. du v. gésir) n. m. Lieu où l’on domoure, où l’on coucho habituolfonient ou par hasard : touiller son oItk. Rentrer au oItb, dans son ciTB. ii lievenir au ijlte. Revenir parmi les siens, ii En voyage, La couchée :

.{rrivrr au «tTK.

Par anal. Lieu que lo lièvre aménage pour dormir.

) >L cxt. Place où se blottit accidontelloment un lièvre,

i ^ un sillon, etc.

— pop. [>av allus. sans doute au morceau de boucherie’)

/’uns If gîte. Ce qu’il y a de mieux, il Ouvrage fait dans le

»/(’. Ouvrage fan avec beaucoup de soin.

— Archit. hydraul. Pièce do bois autour do laquelle pivote un pont tournant.

— Art culin. Bas de la cuisse du bœuf, u Gîte à la noix ou simplem, Gtte, Morceau do la cuisso du bœuf contenant une espèce de glande grosse comme une noix, il Cite à l’os. Derrière du gUo. n Ltèvre au gîte, Lièvre cuit dans une terrine de forme allongée.

— Artill. Poutrelles qui soutiennent les madriers d’une plate-forme.

— Constr. Solive d’un plancher. (C’est par abus qu’on le fait quelquefois féminin en ce sens.)

— Dr. anc. Droit perçu par les rois de Franco pour s’indemniser de leurs frais de voyage, do passage et de séjour, n Gtte et geôlage, Droit perçu par les geôliers sur les prisonniers qu’ils gardaient, ii Gtte aux aiiens. Droit que payaient les vassaux pour se dispenser de nourrir les chiens du soigneur.

— Milit. Localité où uno troupe en route s’arréto pour passer la nuit.ii6’iVe5 d’étape, Localités jalonnant les routes

i la distance d’une journée do marche, et dans lesquelles

tes soumissionnaires pour la fourniture du pain ot des fourrages devaient avoir un représentant. (Cette obligation disparut en 1895, et la qualiâcatîon des localités fut supprimée par un décret du 20 décembre 1899.) !i Gîtes ou Limbourde-gîtes. Pièces do bois de S à 6 mètres de long et de 14 à 22 centimètres d’éc^uarrissage, qui, dans la construction dos platos-formes pour bouches à feu, supportent le tablier de la plate-forme.

— Miner. Gisement ; contrée qui possède des gisements : Gîte houiller, aurifère. V. gisemknt.

— Techn. Meule rtxe d’un moulin, appelé© aussi meule gisante, ii Partie fixe d’un soufflet, colle qui porte la soupape. Il Table du pressoir à raisin.

— Prov. : Un lièvre va toujours mourir au gîte, Après bien des voyages, on finit lovijours par se retirer dans son pays natal, n n faut attendre le lièvre au gîte, Pour être sûr do trouver quelqu’un, li faut l’attendre chez lui.

— n. f. Mar. Place qu’occupe sur le fond un navire échoué. Il Bande du navire, Navire qui donne de la GiTE sur tribord.

— Enctcl. Dr. anc. Lo droit de gîte était lo droit, pour les rois ou les seigneurs, de loger chez leurs sujets ou leurs vassaux. Déjà, à l’époque romaine, l’empereur ou les fonctionnaires avaient droit au logement dans des mansiones ou gîtes, entretenus par les habitants. Les barbares et les rois des premières races maintinrent le droit de gîte. A l’époque féodale, ce droit devint une lourde charge pour les vassaux ; dés la fin du xii* siècle, on le convertit souvent en une redevance pécuniaire. Le droit de gito dû aux évoques par les curés était appelé procuratio ou circaln.

— Art culin. Le gtte à la noix comprend trois parties, dont la meilleure est lo milieu de gîte, en second lieu la tranche au petit os, et en dernier lo derrière do glie, dont la valeur est plus ou moins inférieure, selon que la cuisse a été coupée plus ou moins haut. On appelle gîtes do devant et de derrière les quatre parties supérieures des jambes ; ces morceaux donnent un excellent pot-au-feu, mais sont pou estimés autrement. V. bœif.

g !ter {jî — rad. gîte) v. n. Fam. Habiter, demeurer, coucher : Les premières tribus gîtent dans le cretix des rochers. (Ijonormant.^

— Etre au gîte, avoir son gîte, passer la nuit, en parlant d’un liévro ou do quelques autres animaux : Ètable où gItait une vache. (Losage.)

— Mar. Donner de la bande, ii S’asseoir sur le fond après s’être rempli, en parlant d’un navire avarié.

— V. a. Mettre dans un gtte, loger : Gîtkr un voyageur. Se gîter v. pr. Prendre gîte, se loger : Les chats cherchent tt sF tifTKR dans les lieux les plus chauds. (BuflT.)

— Stn. Gîter, demeurer, habiter, etc. V. DEMBuntiR.

GITB ’jit’) n. m. Nom vulgaire do la nigelle aromatique.

GZTHAGINE [ji,jin’— rad. githago) n. f. Principe vénéneux extrait de la nielle githago.

OITBAGO iji) n. m. Bot. Genre do caryopbyllées. tribu des dianthécs, dont l’espèce type est plus connue sous lo nom de ni>//e des blés.

GITON (71 — n. d’un personnage de Pétrone) n. m. Mignon, jeune homme servant à do honteux plaisirs.

OITONE ou GITONA (ji) n. f. Genre d’insectes diptères brachycéres. famille des muscidés, tribu des éph_yarinés, comprenant des petites mouches variées de gris et do brun, à abdomen court, ovale et aplati, à vastes ailes. (Les gitones habitent l’Europe centrale et méridionale ; l’espèce type du genre est la gitona distigma.)

GITONNE fji] n. f. Nom vulgaire fdans laNièvre) d’une mule •jiii II a pas encore un an. 11 On l’appelle aussi jetonne.

GXTS, bourg de Belgique (Flandro-Occid.), arrond. admin. de Roulers, arrond. judic. d’Ypres ; 3.SS0 bab. Fabrication de vinaigre.

GtTSCHIN on JldN, ville d’Austro-Hongrie (Bohème), «itir la Cyilina. affluent de l’Elbe : 8.417 hab. Ch. -l.de cercle. H.Tr.is important. Ville notablement agrandie par Wallonitem. Le 1" juillet 1806, engagement ?ntre les Prussiens et Ir’v Autrichiens. Dans le voisinage de cetto ville fut enterré W.illenstrin. en 1636.

GlTTARD (Danieli, architecte français, né jk Blandy ’^n 1625. mort à Paris en 1686. Il fut architecte et ingénieur du roi. et devint, en 1672. membre de l’Académie royale d’architecture. Il travailla aux fortifications do Helle-Isle-on-Mcr (I65G , à la reconstruction du château do Saint-Maur-les-Fossés, et, à Paris, à 1 achèvement de Saint-Sulpice et de Saint-Jacques-du-Haut-Pas-

GlUDia (Panio Emiliani), littérateur et homme politique iulien, né à Mussomeli (Sicile) en 1812, mort à

856

Turnbridge (Angleterre] en I87î. II se fixa, en 1846, à Florence. Do tendances libérales, il fut nommé par lo gouvernement provisoire de Toscane professeur àVunivorsilé de Pise (1849 . Mais il fut révoqué à la restauration du grand-duc Léopold II. En I86O, il devint professeur d’esthétique ot secrétaire de l’académie royale dos beaux-arts de Florence. Il abandonna sa chaire on 1862 et, en 1867, il fut envoyé par la Sicile au Parlement italien. On a de lui : Histoire’ de la littérature italienne (18j5) : Histoire des communes italiennes (1861) ; Histoire d’Angleterre (1856) ; Histoire du théâtre en Italie (1860).

GIUFZTE ou GXUmTE n. f. Miner. Syn. do mil&bitr.

GlULANOVA, ville d’Italie (Abruzzcs [prov. de To-

raniu^ près de l’Adriatique ; 5.891 hab.

GlULXANA, comm. du roy. d’Italie (Ile de Sicile [prov.

do PaliTUicj) ; 3.599 hab.

GlULIANI^Giambaitista). littérateur italien, néàCanelli en 1818, mort à Florence en 1883. 11 est surtout connu comme commentateur de la Divine Comédie. On lui doit : Dante expliqué par Dante, essai d’un nouvenu commentaire de la Divine Comédie (1846) ; Méthode pour commenter la Divine Comédie (1861) ; la Vie nouvelle et le Cqnsoniere de Dante (1888) ; le Banquet de Dante, texte restitué intégralement et commentaires (1875) ; Œuvres latines de Dante Alighieri, avec commentaires (1879). Il fut nommé, en 1846, titulaire do la chaire créée pour l’explication de la Divine Comédie à l’institut do Florence.

GiULiANO in Campaçna, comm. d’Italie (Campanio

I prov. de Naplesji ; 12.431 nab.

GluLlANO di Roma, comm. d’Italie (Italie centrale [prov. do Romejj ; 2.346 hab.

GiaNTA, commission de sénateurs vénitiens que lo conseil des Dix s’adjoignait en certaines circonstances.

GlUNTA. Biogr. V. JCNTE.

GlUNTA de Pise, peintre italien de la première moitié du xiii* siècle (probablement 1202 à 125$). Il fut le plus remarquable artiste de son temps. Il exécuta, vers 1230, avec des peintres grecs, dans la basilique d’Assise, des fresques dont quelques parties, assez bien conservées, existent encore, et représentent l’Assomption, le Crucifiement, la Chute de Simon le Magicien. On a également de lui : un Christ, peint à fresque dans l’éghse de San-Kanieri, à Pise ; un Christ, vénéré dans l’oratoire do Saintc-Catherino de Sienne, etc. Ses œuvres se recommandent par la richesse des détails et la grandeur des idées ; mats son dessin manque de correction et d’ampleur.

GlURGEVO, en roum. GlURGlD, ville de Roumanie (Valachie). à 66 kilom. de Bucarest, sur la rive gauche du Danubo, qui la sépare de Roustchouk ; 16.000 nab. Ginrgevo est le troisième port du Danube roumain, après Galatz et Braïla. C’était la Santo-Giorgio des Génois ; puis elle devint turque, et sa situation sur le f^rand fleuve en fit l’enjeu do batailles et de sièges entre les Turcs et les Russes, en 1770, 1771, 1829, 1854.

GluSSANO, comm. d’Italie ! Lombardic fprov. de Milan]), prés du Lambro, affluent du Pô ; 4.905 hab.

GlUSTl (Giuseppe), poète toscan , né à Monsunimano, prés do Pescia, en 1809, mort à Florence en 1850. Il descendait duno riche famille de Pescia. Reçu docteur, il abandonna la jurisprudence pour la poésie. Une boutade spirituelle, la Guillotine à vapeur (1835 ; une satire, Bési’ (/nation, furent ses premières tentatives. Deux ans après, il écrivit son Dies irr, facétieuse oraison funèbre do l’empereur François I". En 1836, il composa lo Slivale (la Hone>, histoire de l’Italie, qui. chaussée par qui veut la prendre, conto ses malheurs. Le Brindisi di Oirella, où il flagelle les volte-face politiques ; le Couronnement, U Itoi i>oliveau, où il so moque des ivranneaux italiens ; la Terre des morts, Saint Ambroise Je Milan, peuvent ôtrd considérés comme ses chefs-d’œuvre. Les poésies de Giusti secondèrent lo mouvement national italien. Elu, en 1848, député à l’Assemblée nationale de la Toscane, il mourut peu de temps après la bataille de Novare. Ses poésies satiriques ont été réunies sous le titre de Versi editi ed inediti (1852^. On lui doit, en outre : Itecueil de proverbes toscans ; Lettres ; Ecrits divers en prose et en vers.

GlUSTINIANt, famille italienne, originaire do Venise, dont les principaux personnages sont : Lorknzo (1380- 1455), patriarche do Venise en 1451 ; — Leonakdo. poète vénitien, né à Venise en 1388, mort en 1446, autour do Canzont e strambotti d’amore ; — BERNABno, fils du précédent, historien, né à Venise en 1408, mort en 1489. [Il fut ambassadeur auprès do Louis XI. et des papes Pie II, Paul II et Sixte IV, et l’auteur du De origine urbis rebusque ab ipsa f/e</i/ti«/urm, premier essai d’une histoire générale do Venisej ; — Orso, amiral vénitien en 1463 ; — Paoi.o, prélat, né & Gènes on 1444. mort à Budc en 1502, moine dominicain. [U fut maître du sacré palais sous Innocent Vlil en 1489 et en 1494, commissaire apostolique contre les hérétiques ; enfin, légat en Hongrie ;; — Agos-TiNO, orientaliste, né à Gènes en 1470, mort dans une tempête en 1536 : — Giovanni, poète, né à Candie en I5Ï3, mort en Italie en 1556 ; — Vicenzo, prélat, né à Scio en 1519, mort en 1582. [Il fut général des dominicains en 1558, et assista au concile de Trente’ ; — Orsato. poète, né à Venise en 1538, mort en 1603 ; — I’ietro, historien vénitien du xvi« siècle. [11 est auteur d’une Historia rcrum Venetarum ab urbe condita /4f/-<57.5 (1576)] ; — Pompeio, général et historien, no en Corse en 1569, mort en 1616 {surnommé Bras de fer, parce qu’on lui avait adapté nn liras mécanique pour remplacer lo bras perdu au siège d’Anvers). [Il est auteur dune histoire de la guerre des Espagnols en Flandre, traduite en latin par Gamburini f Hélium belgicum, 1615)] ; — Orazio, cardinal, né à Gènes, mort à Rome en 1649. [Il fut cardinal de Saint-Onuphre, grand pénitencier ot bibliothécaire du Vatican] ; — ^IARC-Antonio, doge do Venise depuis 1684, mort en 16R8. [Il entra dans la ligue européenne contre le sultan Mahomet IV, et vit son général, Monsini, conquérir le Péloponèse et la Dalmatiel : — Laibkntio. né en I76i, mort en 1854. [Il fut bibliothécaire â Naples depuis 1803.]

GiVARDON, comm. du Cher, arrond. et à 33 kilom. de Saint-Aniand-Mont-Rond, sur lo Sagouin, affl. de l’Auron ; l.or.o hab. Commerce de vins. Sabolcrie, moulins.

GiVAROS. Ethnogr. V. Jivaros.