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Kháyyám Club sur la tombe de son enthousiaste révélateur : Je poète anglais Fitz Gerald.

C’est à ce délicieux écrivain, en effet, que Kháyyám doit ce reflet de gloire qui vient à nouveau l’auréoler.


Dans la première moitié du xviie siècle, le Dr Thomas Hyde avait cité quelques quatrains dans son livre Veterum Persarum Religio ; au début du xviiie siècle, Sir Gore Ouseley donnait la première traduction anglaise de quelques autres ; en 1818, le baron Von Hammer Purgstall transcrivit quelques rubaiyat dans son Histoire des lettres persanes ; en 1827, Friedrich Rückert, dans Grammatik Poetik und Rhethorik der Perser, produisit à l’appui de ses dissertations des vers de Kháyyám.

Tout cela ne sortait pas du cadre des savantes recherches où se complaisent les orientalistes.