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TABLE DES MATIÈRES.

Élève (l’) d’Antonin, Marc-Aurèle, fils adoptif d’Antonin le Pieux ; second portrait qu’il trace de son père vénéré, et qui complète l’éloge du premier, VI, 30, N.
Éloge magnifique et juste de la philosophie, II, 47, N. ; — adressé aux chrétiens par Marc-Aurèle, XI, 3, N.
Embarras rejetés hors de nous, qui n’étaient qu’en nous seuls, IX, 13.
Émotion de la chair, expression qui a une nuance chrétienne, sans être une imitation, V, 26, N.
Empédocle, un des premiers à se plaindre des difficultés de la science ; sa mort, vraie ou supposée, V, 10, N. ; — vers cité par Marc-Aurèle ; explication du mot Sphærus, dans sa doctrine, VIII, 41, N. — vers cité, XII, 3 ; — (vers d’), encore cités plus haut, liv. VIII, § 41 ; XII, 3, N.
Empire (l’) de la partie pensante, définition exacte et profonde de la magnanimité, X, 8, N.
Emporter (à quoi bon s’), citation d’Euripide, dans sa tragédie perdue de Bellérophon, VII, 38, N.
Enchaînement harmonieusement régie dans les choses, qui succèdent à celles qui les ont précédées, IV, 45 ; — de toutes les choses dans le monde, et leur rapport réciproque, VI, 38.
Endroit (en quelque) que ce soit, tout se ressemble, X, 23.
Enfant (production du corps de l’) ; commencement vil, admirable fin, X, 26.
Enfants de Marc-Aurèle, qui n’ont ni l’esprit trop lourd, ni le corps contrefait, I, 17.
Entendement (notre) ne prend aucune part aux émotions douces ou rudes qui tourmentent nos sens, IV, 3.
Entraînements (ne point se livrer aux) du corps ; maxime qui, de l’école platonicienne, est passée à l’école de Zénon, VII, 55, N.
Éphèse, recommandation dans ses lois, pour entretenir le souvenir de la vertu des ancêtres, XI, 26 ; — (lois écrites d’), le seul témoignage de l’antiquité sur ce point assez curieux, XI, 26, N.
Épictète, ses Commentaires prêtés par Rusticus à Marc-Aurèle, I, 7 ; — un de ses ouvrages, que Marc-Aurèle semble désigner ; il n’a rien écrit lui-même, I, 7, N. ; — sa grande distinction entre les choses qui dépendent de nous, et celles qui n’en dépendent pas, IV, 3, N. ; — son état de pauvreté, IV, 31, N. ; — disait qu’il était une âme chétive traînant un cadavre, IV, 41 ; — ni dans le Manuel, ni dans les Dissertations, recueillies par Arrien, ne se trouve une pensée citée par Marc-Aurèle ; ses Commentaires, IV, 11, N. ; — distinction profonde, par où commence son Manuel, V, 33, N. ; — distinction fondamentale par laquelle il commence, citée de nouveau, XI, 41, N. ; — preuve qu’Épictète était mort, lorsque Marc-Aurèle écrivait son ouvrage ; cette mort devait être assez récente, VII, 19, N. ; — Dissertations citées sur la sentence d’Antisthène, qu’il attribue formellement à ce philosophe cynique, VII, 36, N. ; — (le Manuel d’), cité pour sa première maxime, VIII, 7, N. ; — cité sur la manière dont il a compris le rôle de la philosophie, IX, 29, N. ; — pensée citée