Page:Poitras - Refrains de jeunesse, 1894.djvu/23

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Ah ! s’il te fut muet, ouvre-moi ton oreille,
Puis oublie un instant que ta lèvre vermeille
L’a reçu quelque jour !
Ma lyre en ce moment, en ce moment suprême,
Va te le soupirer, ah ! ce mot c’est : « je t’aime ! »
Dis, est-ce assez d’amour ?…