Les champs ont soif, les malheureux ! Moi, de même. Pitié pour eux ! Vierge Marie, Aussi pour moi, je vous en prie. Voyez, clochant sur leurs fémurs, Les blés, avant qu’ils ne soient mûrs. À la malheure ! Ils seront fichus tout à l’heure. Et moi, Madone, qui n’ai bu Depuis la mort du père Ubu, Voyez ma gorge… Il n’y passerait un grain d’orge.