Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/189

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— Je ne crois rien. Adieu.

Et la comédienne se leva.

— Vous partez ?

— Oui.

— Mais… Marion…

— Je vous l’ai dit, Marion aime ailleurs.

— Mais… cette étoile…

— Mon cher comte, dit froidement mademoiselle Lange, quand on est un homme grave comme vous, et le premier magistrat de la République, on ne songe point à