Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/190

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ses propres passions… on songe à la patrie…

Au revoir.

Et mademoiselle Lange sortit, laissant Barras en proie à une vive agitation.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Une heure après, Jeannette, cette robuste fille qui ne quittait guère mademoiselle Lange, la grondait au besoin et lui reprochait de sacrifier à chaque instant ses intérêts à ses affections, Jeannette, disons-nous mettait en maugréant quelques hardes dans une valise de voyage.