Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/191

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Une chaise de poste attendait à la porte de l’hôtel de mademoiselle Lange.

— Où allons-nous ? demanda Jeannette.

— Toi, nulle part, répondit l’actrice.

— Comment, je ne suis pas madame ?

— Non.

— Mais… cependant… madame a besoin de moi… toujours.

— Pas cette fois-ci.

— Mais enfin, s’écria Jeannette avec désespoir, où va madame ?