Page:Quicherat - Petit Traité de versification française, 1882.djvu/106

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J’ai vu mille peines’cruëHes

Sous un vain masque de-bonheur, Mille petitesses réelles

Sous une écorçe de’grm)3eu !

Mille tachetés irtEdetës

Sous un coloris de ca.n

Et j’ai dit au fond démon cœar : Heureux qui, dans la paix seerëto D’une libre et sûre retraite,

Vit ignoré,content de ,peu,

Et qui ne se voit point sans cesse ’Jouet’de Taveugte déesse,

Oudupedeitia~eugte’dMu !

S 5. VERS ’DE ’SEPT ’S’Y’I1LA’EES.

Le vers de sept syllabes se ’vers de trois pieds et demi. Ses .aMritNitMms sonit peu près les mêmes que celles .Aa préeéd&tit. )R convient surtout à l’épitre familière, !au ’cantë, :a l’câe, à la chanson.

La Fontaine a fait plns’i&urs TaMes en vers de sept syllabes. Voici le commencement de celle qui a pour titre, Jupiter et ~ToMMtya.

Jupiter, voyant nos fautes, Dit un jour du haut’des airs ; : « Remplissons de nouveaux ’hôtea Les cantons de l’univers

Habités par cette race

Qui m’importune et mBttasse. Va-t’en, Mercure, auxfan’fMS ; Amène-moi la Furie

La plus cruelle des trois.