Page:Quicherat - Petit Traité de versification française, 1882.djvu/75

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Les mots tirés de langues étrangères qui ont leur désinence en am, us, as, ès, is, os, etc., et qui se prononcent comme s’ils étaient terminés par un c muet, tels que Jérusalem, Brutus, Cérès, Pâris, Minos, ont quelque dureté lorsqu’ils sont suivis d’une consonne Jérusalem sera, Brutus croit.

J’ai cru qu’Antiochus les tenait éloignés. CORN. Tout le peuple en murmure, et Félix s’en offense. ÎD. Jadis Priam soumis fut respecté d’Achille. RAC. Minos juge aux enfers tous les pâles humains, In. Quelquefois un seul mot est choquant à l’oreille Ne perds-je pas assez, sans doubler l’infortune ? CORNTout ce que je sens, je t’exprime ;

Ne sensée plus rien ? je finis. LA MOTTE.

Et jamais elle n’est plus pure

Qu’où le travail a moins de part. ID.

La Harpe Marne dans un endroit l’emploi des prétérits définis &7’M~M, remplîtes.

2° La répétition de la même lettre dans une suit& de mots

Que, quelque amour qu’elle ait et qu’elle ait pu donner. [CORNEILLE.

On n’a tous deux qu’un cœur qui sent mêmes traverses. Mon cœur te résistait, et tu l’as combattu. h). Qui changeant sur ce plat et d’état et de nom. BOIL. Gardez donc de donner, ainsi que dans Clélie. !D. De toutes parts pressé par un puissant voisin. RAC. Ingrat à tes bontés, ingrat à ton amour. VOLT. Tout art t’est étranger combattre est ton partage. le. 3° Une syllabe finale et une syllabe initiale qui sont pareilles :