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LA DOUBLE MAÎTRESSE

œillades irritées qu’il prit congé d’elles, sans attendre l’entrée de Mme de Meilhenc qu’il rencontra justement dans l’escalier.

M. de Portebize descendit d’un pas alerte jusqu’au vestibule où il vit au cadran de l’horloge qu’il était encore de bonne heure et qu’il lui restait le temps d’aller faire visite à cet abbé Hubertet dont lui avait parlé sa mère et dont il s’était procuré l’adresse. Il la dit à Basque qui fermait la portière et remontait le marchepied. Les chevaux partirent. Le carrosse passa le Pont-Neuf et, par la rue Dauphine, s’achemina vers la rue Saint-Jacques où demeurait le savant homme.