Page:Raynal - Histoire philosophique et politique des établissemens et du commerce des Européens dans les deux Indes, v1.djvu/541

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alla combattre les infidèles ſous le célèbre Cid, qu’elle reparut ſur les bords du ſage. 188. C’étoit un mélange d’héroïſme, de galanterie & de dévotion. Ibid..
Chine. Tout le bien qu’en avoit dit le Vénitien Marc Paul, avoit paſſé pour fabuleux. 192. Comparaiſon de ce qu’en ont dit ſes panégyriſtes & ſes détracteurs. 195 & ſuiv. Sa deſcription géographique, ſon antiquité. 194, 195. Fertilité de ſon territoire. 197. Productions différentes ſelon les terreins. 199, 200. Des canaux multipliés ſortant des fleuves y augmentent la fertilité. Ibid.. Réponſe des détracteurs de la Chine à cette aſſertion. 227. Caractère de la nation. 200. L’agriculture y eſt de tems immémorial, en honneur. 201. Réponſe. 236. Les laboureurs y ſont en grande vénération. 202. L’empereur y laboure tous les ans avec de grandes ſolemnisés une portion de terre. 207, 208. Les révolutions & les révoltes en cas de diſette, y ſont fréquentes. Raiſons qui peuvent les autoriſer. Réponſe. 227. Population de ce pays. 207. Tout magiſtrat qui déplaît eſt déposé, fût-il innocent. 208, 209. Le prince y eſt adoré, Ibid.. Les ſouverains y ſont plus ſages & plus éclairés par la néceſſité ou ils ſont d’être juſtes. 209. Réponſe. 234. Les Chinois ne ſont attachés aux loix qu’autant qu’elles font leur bonheur. 208. Réponſe à cette aſſertion. 232. Si le prince s’y livroit à la tyrannie, il s’expoſeroit à tomber du trône. 208. Réponſe. 232, 233. Ce n’eſt pas comme légiſlateur, c’eſt comme père que le prince y eſt obéi, reſpecté, 209, 210. Réponſe à cette aſſertion. 231. Le gouvernement eſt revenu au gouvernement patriarchal qui eſt celui de la nature. 210. Réponſe des détracteurs. 235, 236. Pouvoir des pères & mères ſur leurs enfans. 210. Dans quel ordre ſont pris les miniſtres, magiſtrats, gouverneurs des provinces. 213. Comment ſe règle la ſucceſſion au trône. 214. La ſuperſtition n’y a aucun pouvoir. 215. La religion y a été fondée par Confucius. Ibid.. Les mandarins ne tenant point à des familles riches & puiſſantes, n’y reçoivent d’appui que du trône. Ibid.. Réponſe