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Maintenant, des forts supposés imprenables, mais qu’heureusement on peut affamer ou tourner, ont la prétention d’en interdire le passage aux dégénérés de l’Ouest : ce que nous sommes pour les bouledogues à lunettes dont se compose la nation surnaturelle.
Voilà ce qu’est le Rhin ; le Rhin paternel, le père Rhin[1], disent les Allemands ; le Rhin où nous montons la garde[2] ; le libre Rhin allemand que n’auront jamais les Français[3] ; le Rhin où croissent nos raisins, disent-ils encore[4].