Le vita. — Laissez-le partir.
Samsthânaka. — Oui, mais à une condition.
Le vita. — Laquelle ?
Samsthânaka. — Qu’il enlève la boue de ce lac sans troubler (20. l’eau, ou qu’il mette l’eau en tas quelque part et enlève la boue ensuite.
Le vita. — Quelle aberration !
« Cette terre porte des fous, véritables morceaux de pierre ou de bois sous forme de corps et de chair, dont les idées sont à contre-sens (21.. »
(Le religieux manifeste des signes d’indignation.)
Samsthanaka. — Que dit-il ?
Le vita. — Il célèbre vos louanges.
Samsthanaka. — Loue-moi, loue-moi, loue-moi encore et toujours !
(Le religieux lui obéi. (22. et s’en va.)
Le vita. — Voyez, seigneur, comme ce jardin est beau !
« Ces arbres couverts de fleurs et de fruits et enveloppés par de solides lianes ressemblent à des maris que protége la garde instituée par le roi et goûtant une félicité parfaite à côté de leurs épouses. »
Samsthânaka. — Très-bien dit, maître !
« La terre, en effet, est émaillée par une