Page:Renan - Lettres du séminaire, 1838-1846.djvu/223

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avec toi, ce moment-là arrivera aussi, s’il plaît à Dieu. Je vois la place où tu seras assis et moi près de toi sans désemparer. Mon Dieu ! quel tourment pour les pauvres enfants qui ont des mamans si sottes que la tienne. Adieu, cher ange.

Ve RENAN