Page:Revue des études grecques, Tome 3, 1890.djvu/326

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Il faut néanmoins, afin que le poids ne fasse pas rompre la ligature des pièces de bois, avoir deux ou trois points de suspension, le bélier se maintient en effet alors, indépendamment des éclisses et des clous, comme s’il était d’une seule pièce, chaque poutre étant supportée par sa propre suspension. La figure est ci-dessous, et les descriptions sont placées plus haut.

Les trois parties reculeront et avanceront ensemble, ne faisant qu’un et n’éprouveront aucune variation dans leur mouvement.

Il n’en faut pas moins recourir à l’éclissage aux clous et aux brides en cordages ; car ainsi les poutres ne se choqueront pas entre elles ; et le mur ne sera pas frappé par une seule ; étant unies, il se produira, par la réunion des trois parties, un choc violent et sans perte de force.

§ 6. — De la tête du bélier.

La tête du bélier recevra (une garniture semblable à) une enclume,